Un général français n'a jamais à être rappelé au service. Même "retraité", même potiche sénile, il n'est jamais que "2e Section" et touche sa solde plein pot, jusqu'à sa mort, tout comme s'il était d'active.
Le bidasse mobilisé, oui, est appelé, voire "rappelé" au service, comme les classes du début de la guerre d'Algérie.
Pour un général politique, plus grande gueule que gros bras, on peut se tapoter le menton.
Dernière intervention du "rappelé", en 1956, il a été co-signataire d'une lettre "entre soldats et dans l'honneur" où diverses badernes étoilées se permettaient de tancer un général devenu chef d'état, sur les risques de sa politique.
Le gamin en question s'appelait Dwight Eisenhower.