 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Seconde Guerre Mondiale - SGM |
- | Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.
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Dans ce texte :Les Suisses et les nazisLe rapport Bergier pour tousPietro BoschettiC'est le 19 décembre 1996 que la Commission Indépendante d'Experts Suisse - Seconde Guerre mondiale (ça en fait des majuscules !) fut instituée après le scandale créé en Suisse par l'affaire des fonds en déshérence.
Le 19 décembre 2001, la Commission dirigée par Jean-François Bergier remettait son rapport.
Ce rapport compte 28 volumes que personne, exceptés quelques chercheurs, n'a lus en entier.
Jean-François Bergier constata que si son rapport était souvent mentionné, les Suisses n'en connaissaient que ce que des journalistes en disaient, c'est-à-dire des résumés impressifs et trop souvent partisans. Il proposa à deux auteurs - un alémanique et un francophone - d'en rédiger la synthèse sérieuse mais accessible destinée aux lecteurs désireux de saisir les principales lignes de forces du rapport initial.
Ce livre est un trait d'union. Le trait d'union qui manquait entre le grand public et les 11 000 pages des travaux de la commission Bergier sur la Suisse et la Seconde guerre mondiale. (...) Grâce à Les Suisses et les nazis, chacun a désormais accès aux points principaux étudiés par les historiens : comment la Suisse s'est-elle comportée pendant la Seconde guerre mondiale avec les réfugiés et avec les fonds placés dans les banques ? Que savait-on du sort qui attendait les Juifs refoulés aux frontières ? Quel rôle jouait la place financière suisse ? Qu'en était-il du transit ferroviaire et du travail forcé en Allemagne pour le compte d'entreprises suisses ? (ext. 4e de couv.)
Les questions essentielles et les thèses majeures des chercheurs de la commission sont enfin rassemblées dans un livre accessible à tous. Une initiative qui devrait permettre de démocratiser le débat.
RC |
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