le Glossaire de Francis a trouvé :
Barbarossa - Allemagne nazie |
| - | Nom de code de l'attaque allemande lancée contre l'URSS le 22 juin 1941.
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| - | Le webslave après un repas de spaghetti ?
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Combat - Résistance (France) |
| - | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Seconde Guerre Mondiale - SGM |
| - | Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.
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SS - Schutzstaffel - Allemagne nazie |
| - | "Echelon de protection" ou "Section de protection".
Créée en 1923, la SS est d'abord la garde prétorienne de Hitler. Sous l'impulsion de Heinrich Himmler qui en prend la tête le 6 juin 1929, elle devient la police du Reich. A partir de 1937, la SS est chargée de la gestion du système concentrationnaire.
Himmler portera le titre de "Reichsfürher-SS".
A partir de 1935, la SS se subdivise en différentes branches notamment:
- SS Verfügungstruppe (troupes mises à disposition), organisées militairement et qui deviennent, au début de la guerre, les Waffen SS.
- SS Totenkopf (tête de mort) chargées de la garde des camps de concentration.
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Dans ce texte :L'illusionLes soldats de l'Armée Rouge dans les troupes d'HitlerJürgen ThorwaldPrésentation de l'éditeur :
Dans la plus grande tradition d’ouvrages tels que « le jour le plus long » de Cornelius Ryan, et « Opération Barbarossa » de Paul Carell, « L’illusion » de Jürgen Thorwald nous raconte avec la plus extrême précision une histoire passionnante et capitale, à travers laquelle se joua le sort de la Seconde Guerre Mondiale .
Fin 1941, après quelques mois de combat, les généraux allemands ont réussi à recruter chez leurs ennemis neuf cent mille volontaires, prêts a marcher sous leurs ordres. Il ne s’agit pas seulement d’hommes originaires des divers nationalités de l’Union Soviétique , mais d’authentiques Russes, décidés à renverser le régime stalinien.
Par ailleurs, la plupart des prisonniers russes sont, à ce moment l^, prêts à s’allier à leurs vainqueurs. Eux aussi veulent libérer leur patrie.
Mais le Führer, lui, ne pense qu’à « coloniser » l’espace russe et à distribuer les terres aux paysans allemands. SS et commandos spéciaux massacrent ces Russes qu’ils considèrent comme des « sous-hommes ». Quand aux prisonniers, les nazis les torturent et les laissent mourir de faim. Ainsi, les trois ou quatre millions de volontaires qui auraient pu « tout changer » ne seront jamais utilisés……
Seuls quelques officiers allemands du front ont compris, dès l’arrêt de l’offensive devant Moscou, qu’on ne peut vaincre l’immense Russie qu’avec les Russes. En 1943, Himmler stupéfait apprend qu’à son insu-et à l’insu du Führer- les généraux allemands emploient près d’un million de Russes ! Mais quand il accordera deux divisions à un grand général russe, Vlassov, pour constituer le noyau de l’armée de libération, il sera trop tard : les Allemands succomberont déjà, à l’Est comme à l’Ouest.
Cette erreur d’Hitler et de son entourage, cette Illusion, si lourde de conséquences, Jürgen Thorwald nous en fait ici les témoins. Avec son grand talent de conteur épris de vérité, il nous restitue les faits et le climat de cette tragédie, en s’appuyant sur une vaste documentation inédite.
Bonnes lectures, |
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