le Glossaire de Francis a trouvé : Combat - Résistance (France) |
- | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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- | En fait, je ne propose pas de définition (vous êtes de bien plus grands spécialistes que je ne pourrais jamais l'être), mais je m'étonne de ne pas retrouver sa trace dans le glossaire...
Note : Le glossaire est en chantier permanent ! N'hésitez pas à participer et à déposer vos définitions ou courtes biographies.
FD
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte :Dans la foulée de PattonLes bataillons belges de fusiliers en 1944-45Pierre Erculisse et Roger RosartLibérés des griffes nazies en 1945, des prisonniers, des déportés belges n'en reviennent pas de croiser, en territoire allemand, des compatriotes en armes. Cinquante mille Belges servent, cette année-là, dans les
'' bataillons de fusiliers '', dont un grand nombre de volontaires de guerre de 1944 aux unités incorporées dans les armées alliées en campagne.
Comment était constitué un bataillon de fusiliers? En quoi consis-taient son équipement, son charroi, son armement? En quoi aussi différent les pelotons d'infanterie de 1914,194O,1944,1955,1985... et des années à venir avec l'apparition des '' véhicules de combat '' AIFV (Armoured lnfantry Fighting Vehicle) dont s'équipe présentement l'armée belge?
Et que furent l'instruction de ces soldats d'après la Libération, leur état d'esprit après plus de quatre années d'occupation, leurs relations avec les frères d'armes alliés et l'ennemi irrémédiablement vaincu encore que le 4 janvier 1945, le général George S. Patton observait:
'' Nous pouvons encore perdre cette guerre ''?
Des anecdotes émaillent ce récit à la fois humain et technique. L'ouvrage retrace aussi les pérégrinations des différents bataillons de fusiliers dont plusieurs servirent au sein de l'armée américaine et notamment '' dans la foulée de Patton '', ce prestigieux général de la 3th US Army dont on célébra, en 1985, à la fois le centenaire de la naissance ( 11 novembre ) et le 40ème anniversaire de la mort tragique ( 21 décembre ).
( Source : 4ème de couverture de l’ouvrage ) |