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La France appelle votre secours  - Frédéric Smith
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Bastien (Lydie)
-

Maîtresse de René Hardy.


Combat - Résistance (France)
-

L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".


France Libre - France libre
-

Mouvement politique et militaire, créé en juin 1940 par le Général Charles de Gaulle. Déniant toute légitimité au Maréchal Pétain, elle s'opposera militairement à ses forces pour obtenir le ralliement partiel de "l'Empire". En 41 et 42 elle fut la seule force militaire française présente sur les champs de bataille aux cotés des Britanniques . Ensuite son autorité fut acceptée par les mouvements de résistance intérieurs puis, par les autres forces françaises présentes à l'extérieur du territoire. En 1944 la France Libre rétablira la république tout en participant à la victoire contre les nazis.


Gaulle (Charles de) - CDG - France libre
-

A hissé le grade de Connétable bien au dessus de celui de Maréchal, fut il de France.
Le site officiel


Gaulliste - France libre
-

Appellation péjorative des Français Libres
Jamais les Français Libres ne se dénommaient ainsi en parlant d'eux. Cette expression est une "invention de la propagande Allemande" écrit le général de Gaulle "qui tend à nous confondre avec ces anciens partis politiques qui portaient le nom de leurs chefs, "doriotistes ou "paul-fauristes" d'avant guerre." (dans "La 1ère DFL" du général Yves Gras)
JGh


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")

Dans ce texte :

La France appelle votre secours

Québec et la France libre, 1940-1945

Frédéric Smith

L’auteur
Frédéric Smith est historien et chargé de projets à la Commission de la capitale nationale du Québec, où il coordonne divers projets de commémoration, d’interprétation et de mise en valeur de l’histoire et du patrimoine de la ville de Québec. Il a publié Domaine de Maizerets (Éditions de l’Homme, 2005), Parc du Bois-de-Coulonge (Fides, 2003) et Cataraqui : histoire d’une villa anglaise à Sillery (Publications du Québec, 2001).
Il est également coéditeur avec Sébastien Vincent et webmestre du blogue d’histoire du Québec :


Le livre
Tiens, un Québécois qui s’intéresse à la France Libre ? Oui, mais pas n’importe quelle France Libre, celle qui agissait au Canada ! L’auteur nous met tout de suite dans le Saint-Laurent, pardon, dans le bain avec en introduction la liste des principaux protagonistes, ce qui a donné à votre serviteur l’occasion de découvrir qu’Elisabeth de Miribel est venue au Québec dès août 1940.
Après une courte histoire de ce qui se passa en France, mais aussi au Canada, jusqu'à juin 1940, nous entrons de plain-pied dans l’histoire des FFL au Canada et ça commence très mal.
Les Français ne comprennent rien aux mentalités canadiennes, qu’il s’agisse des francophones comme des anglophones, et vice-versa ! Mauvais choix de représentants locaux de De Gaulle, bourdes d’Elisabeth de Miribel, rien n’est épargné, y compris d’ailleurs les réticences du gouvernement canadien envers la France Libre.
Il faut également compter avec le respect et la sympathie dont bénéficie encore Pétain au Canada, tant du côté anglophone que francophone. Les vives critiques de Charles de Gaulle envers le Maréchal déplaisent à beaucoup.
Cela se passe cependant moins mal à Québec qu’à Montréal, mais il faudra quand même le déplacement de Thierry d’Argenlieu pour que la situation s’améliore durant le second semestre 1941. Cependant, une nouvelle crise agitera le mouvement de fin 1941 à l’automne 1942. La reconnaissance, enfin, ne prendra place que durant l’été 1943.
Mais je ne vous en dirai pas plus. Cette aventure est peu connue et, comme pour un bon film, il serait scélérat de ma part de vous dévoiler les résultats.
Je ne peux que conseiller de lire ce livre qui, malgré le sérieux du sujet, se lit comme un roman policier !
Une remarque cependant : Les notes sont toutes en fin d’ouvrage, ce qui oblige à des acrobaties pour aller les consulter sans perdre sa page en lecture. L’auteur m’a expliqué que ceci était imposé par l’éditeur afin de ne pas effrayer le grand public par trop de notes en pied de page. Eh bien, l’éditeur a tort…

Présentation de l’éditeur
En juin 1940, la France capitule devant l'Allemagne nazie. Depuis Londres, la voix d'un général inconnu, Charles de Gaulle, s'élève pour inviter ses compatriotes à poursuivre le combat. C'est la naissance de la France libre. Le 1er août, de Gaulle lance un appel particulier au Canada français : « L'âme de la France cherche et appelle votre secours », dit-il alors, « parce que le destin a fait du Canada la terre d'union de l'Ancien et du Nouveau Monde. »
Marthe Simard, une jeune Française établie à Québec, met sur pied un comité d'appui au mouvement gaulliste. Avec l'aide de son mari canadien-français, elle s'entoure de quelques journalistes, religieux et intellectuels, dont le professeur franco-suisse Auguste Viatte. Dans la maison des Simard, au cœur du Vieux-Québec, ils organisent l'aide aux soldats, participent à la propagande gaulliste et anti-vichyste et accueillent les représentants de la France libre de passage au Canada. Remarquée grâce aux rapports enthousiastes d'Élisabeth de Miribel, jeune envoyée du général, Marthe Simard fera une brève carrière politique à Alger puis à Paris. Les historiens perdront ensuite la trace de celle qui fut pourtant la première femme parlementaire de France.
À l'aide des archives personnelles de Marthe Simard et de sources canadiennes, françaises et suisses, Frédéric Smith redonne la parole aux principaux animateurs du Comité France libre de Québec. On découvre ainsi un épisode étonnant des échanges diplomatiques et intellectuels entretenus entre une France aux abois et un Québec en devenir.

 

Consulter ou enrichir le Glossaire de Francis



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 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.07 s  3 requêtes