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Le Défi de la neutralité - Georges-André Chevallaz
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Ordre Nouveau - Belgique
-

Dans les années 35-45, particulièrement en Belgique, tendances politiques qui s'opposent au régime parlementaire et qui marquent ses sympathies pour les régimes fascistes sinon autoriraires. Synonyme en France de "Révolution nationale" sous Vichy.


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")


Seconde Guerre Mondiale - SGM
-

Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.

Dans ce texte :

Le Défi de la neutralité

Diplomatie et défense dela Suisse 1939-1945

Georges-André Chevallaz

L’historien Georges-André Chevallaz, maintenant décédé, a été au cœur de la révision de l’histoire de la Suisse pendant la SGM, ceci parce qu’il a été l’auteur de livres d’histoire destinés aux écoles. On lui a reproché d’avoir fait peu de cas des liens économiques entre la Suisse et l’Allemagne. On peut admettre cette critique tout en soulignant qu’il est difficile dans le confort et la sécurité de faire comprendre, surtout à des écoliers, que l’art de la guerre ou de la paix passe souvent par des compromis ou par « le moindre mal ». Que c’est rarement tout noir tout blanc en dehors des pires dictatures où c’est vraiment souvent tout noir.

L’auteur parle de Pilet-Golaz, alors en charge du département politique et président en 1940, encore aujourd’hui hélas très mal compris et mal connu. Le fait qu’il n’existe aucune biographie à son sujet n’arrange rien ! Pourtant c’est probablement la personnalité suisse, avec Guisan, qui a eu la plus grande responsabilité au cours de l’histoire de la Confédération, ceci pendant le plus grand conflit dans l’histoire du monde.


Présentation de l’éditeur

Pourquoi, devant la menace que constituaient l’impérialisme allemand, son idéologie nationale-socialiste, autoritaire, totalitaire et raciste, la Suisse a-t-elle déclaré sa neutralité ? pourquoi n’a-t-elle pas rejoint d’emblée le « camp des démocraties » en fait limité à la France et à la Grande-Bretagne, qui après bien des tergiversations, se résolvaient à tenir tête à l’Allemagne ? »
C’est par cette double interrogation que Georges-André Chevallaz introduit sa somme sur la neutralité suisse pendant la Seconde Guerre mondiale, le Défi de la neutralité, et c’est à cette interrogation qu’il veut répondre. Au fil des chapitres, l’historien et ancien Président de la Confédération développe une « réflexion qui s’efforce (…) sans prétendre elle-même à l’impartialité absolue et à l’objectivité définitive - l’histoire est en perpétuelle révision - d’apporter quelques nuances dans l’appréciation encore radioactive, dans le jugement porté sur la neutralité, que certains condamnent aujourd’hui avec un courage rétrospectif, un intégrisme moral négligeant les réalités humaines, la foi louable-mais problématique-en un ordre nouveau où les frontières s’effaceront dans l’harmonie et l’identité universelles. »
Avec sa plume incisive, Georges-André Chevallaz s’est également livré à une réévaluation du rôle des acteurs principaux de la politique suisse à cette époque, notamment celui de Marcel Pilet-Golaz, chef du Département des Affaires étrangères, et du Général Guisan, ceci en rupture avec la condamnation de l’un ou l’hagiographie de l’autre. L’un et l’autre, dans leur missions complémentaires, ont contribué à tenir le défi de la neutralité, à sauvegarder au pays la paix et la liberté dans la tourmente européenne. Le livre se termine par un texte inédit de Marcel Pilet-Golaz destiné à son successeur Max Petipierre et traitant précisément dans dangers auxquels la Suisse fut exposée au cours de la Guerre mondiale 1939-1945

 

Consulter ou enrichir le Glossaire de Francis



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