 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
|
Wehrmacht - Allemagne nazie |
- | L'armée allemande sous le IIIe Reich. Littéralement Wehrmacht signifie "puissance (ou force) défensive". L'armée allemande prend ce nom en 1935 à la place de "Reichswehr" (voir ce terme).
|
SD - Sicherheitsdienst - Allemagne nazie |
- | Service de sécurité responsable de la surveillance intérieure, du renseignement, de l'espionnage et du contre-espionnage du parti.
Dans l'organigramme du RSHA (Office Central de la Sécurité du Reich) le SD est désigné:
- Amt III Inland SD (service de renseignement intérieur)
- Amt VI Ausland SD (service de renseignement à l'étranger)
|
SR - Service de Renseignements - France libre |
- | Créé et dirigé par le colonel Passy, le SR deviendra le BCRAM (Bureau Central de Renseignements et d'Action Militaire), précurseur du BCRA.
|
SR - Parti socialiste révolutionnaire - Union soviétique |
- | Parti socialiste révolutionnaire. Créé en 1902, le Parti socialiste révolutionnaire se réclame des traditions populistes du mouvement révolutionnaire russe. Plus proche du monde paysan que du monde ouvrier, le SR entrera en conflit avec le parti de Lénine.
|
Dans ce texte : Assez vague... de René CLAUDE le samedi 18 octobre 2003 à 10h09
Bonjour,
Si Jean-Jacques Langendorf est en général précis lorsqu'il donne sa synthèse d'énévements sratégiques et politiques, dans un sous-chapitre de "La Suisse dans les tempêtes du XXe siècle" (Georg) intitulé simplement "Espionnage", concernant les sources du SR de Masson, il reste assez vague :
"Les renseignements provenaient de sources diverses, l'une des plus importantes étant constituée par la ligne "Viking" qui aboutissait directement dans les hautes sphères de la Wehrmacht (...) L'émigrant allemand Rudolf Rössler, installé en Suisse depuis 1934, et qui avait conservé de nombreux informateurs dans le Reich, fournit également de précieuses informations aux services de renseignements helvétiques. A partir de 1942 il se mit à travailler pour les Russes mais les Suisses lui fournissaient également des informations sur la base de la réciprocité, pratique courante dans le monde de l'espionnage." (p. 178-179) Et de mentionner aussi Alexander Rado, l'agent soviétique qui alimentait le Centre de Moscou depuis Genève et Lausanne.
J'attends un livre sur les liens entre Masson et Schellenberg en espérant y trouver des éléments quant aux exigences qu'a pu formuler le chef du SD au chef du SR helvétique à propos de l'activité d'agents travaillant pour les Alliés.
Bien cordialement,
RC *** / *** |
|