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Un diplomate parmi les guerriers - Robert Murphy
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Combat - Résistance (France)
-

L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".


Darlan (François) - France
-

(1881-1942) Commandant d'une batterie de canonniers marins pendant le Première Guerre mondiale, François Darlan est nommé en 1926, directeur du cabinet de Georges Leygues, ministre de la Marine. Il s'y consacra déjà à la rénovation de la flotte. En 1934, il reçoit le commandement de l'escadre de l'Atlantique; en 1936, chef d'état-major général de la Marine; en 1938, amiral de la flotte.
En juin 1940, il entre dans le gouvernement de Pétain comme Ministre de la Marine. En décembre 40, à la suite du renvoi de Laval, il est nommé vice-président du Conseil et est considéré comme le dauphin du Maréchal Pétain.
Présent à Alger, en novembre 42, lors du débarquement américain en AFN, Darlan se rallie à la cause alliée après s'y être opposé quelques jours. Il sera assassiné le 24 décembre suivant par le jeune Bonnier de la Chapelle.


Gaulle (Charles de) - CDG - France libre
-

A hissé le grade de Connétable bien au dessus de celui de Maréchal, fut il de France.
Le site officiel


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")


Torch - Divers
-

Nom de code du débarquement américain en Afrique du Nord ; le 8 novembre 1942, les soldats prennent pied au Maroc et en Algérie.
L'opération prévue d'abord sous le nom "Gymnast" fut rejetée par Churchill qui jugeait le terme vulgaire.

Dans ce texte :

La bienveillance d'Eisenhower de René CLAUDE le samedi 13 septembre 2003 à 21h56

Bonsoir,

Finalement on se dit qu'à moyen terme les militants de Combat-Algérie dynamisés par René Capitant et les gaullistes ont été les bénéficiaires de la confusion créée par les montages politiques et les complots permanents des agents de Roosevelt en Afrique du Nord, et cela malgré leur nombre restreint et la dimension semi-clandestine de leurs activités. Durant le passage au pouvoir de Darlan qui poussait sa police "secrète" à les traquer et à empêcher la diffusion du journal du mouvement, les résistants et les gaullistes - souvent regroupés dans les mêmes réseaux à cause de leur petit nombre sous la responsabilité René Capitant qui semble avoir été partout - ont bénéficié de la bienveillance d'Eisenhower, secrètement favorable à de Gaulle et qui méprisait Murphy jugé snob et combinard de même que ses "consuls" trop arrogants.
Le chef des armées alliées en Afrique du Nord avait appris à connaître le Connétable lors de la préparation de l'opération Torch à Londres. Pour lui, le chef des Français libres était un homme politique responsable, un vrai démocrate et il était convaincu qu'il serait capable de tenir Alger pendant les opérations contre Rommel en Tunisie. Seulement, il ne pouvait pas officiellement affirmer une telle position personnelle à l'opposé des thèses de son président. En revanche, sur le terrain, il avait le pouvoir d'arranger certains problèmes et de modérer les excès répressifs de Darlan (qu'il méprisait) contre les gaullistes et les représentants des mouvements et réseaux de la résistance intérieure. Si Murphy avait tendance à outrepasser son mandat dans des constructions politiques chimériques pour un après-guerre dont il se croyait l'organisateur, Eisenhower, lui, pensait à la guerre à mener et à gagner .Les mouvements et la France combattante voulaient se battre contre le nazisme et ses complices, ils étaient donc des alliés qui pouvaient l'aider, même modestement. Et puis, Eisenhower n'était pas un comploteur, il avait une morale et une haute idée de sa mission. Il était persuadé qu'en temps de guerre, près du futur théâtre des opérations, le pouvoir devait revenir au commandant en chef.
??????????
C'est alors qu'au milieu de cet écheveau insensé, certains se mirent à souhaiter donner un coup d'accélérateur au destin de l'amiral Darlan...

Bien cordialement,

René Claude

*** / ***

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