La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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SR - Service de Renseignements - France libre |
- | Créé et dirigé par le colonel Passy, le SR deviendra le BCRAM (Bureau Central de Renseignements et d'Action Militaire), précurseur du BCRA.
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SR - Parti socialiste révolutionnaire - Union soviétique |
- | Parti socialiste révolutionnaire. Créé en 1902, le Parti socialiste révolutionnaire se réclame des traditions populistes du mouvement révolutionnaire russe. Plus proche du monde paysan que du monde ouvrier, le SR entrera en conflit avec le parti de Lénine.
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Dans ce texte : Pertinence et probité de René CLAUDE le dimanche 28 octobre 2018 à 11h15Bonjour,
Christian Rossé a fort bien résumé le sens de ses recherches par les questions suivantes :
Comment le SR suisse estimait la menace allemande ? Par quelle méthode ? Comment cette estimation évolue dans le temps ? Qui sont les hommes qui l’établissent ? On est là au cœur de l'affaire.
Sans œillères idéologiques et loin des clichés hagiographiques ou partisans, il fait œuvre de pionnier. Jusque-là, je n'avais qu'une vision assez floue du rôle du SR suisse et de son chef le brigadier Masson.
Des ouvrages de journalistes "sensationnalistes" écrits dans les années 60 et 70 avaient embrouillé le cadre et les acteurs de la guerre du renseignement dans mon esprit. Au cours d'une lecture attentive des synthèses de Christian Rossé, je n'ai pas relevé une seule ligne d'un plaidoyer pour la (ou LA) Suisse. Au contraire, ces deux ouvrages raisonnés m'ont convaincu de la pertinence du sujet d'études et de la probité de l'historien aussi je comprends mal ce procès d'intention.
Bien cordialement
RC *** / *** |
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