La description du sujet
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§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : Alliance (Réseau) - Résistance (France) |
- | Fondé en octobre 1940 par Georges Loustaunau-Lacau. Arrêté ainsi qu'une grande partie de son Etat-major, Meric (Marie-Madeleine Fourcade) prend la tête du réseau. Le réseau Alliance est directement rattaché à l'IS (Intelligence Service) britannique.
Le 2 septembre 1944, 108 membres d'Alliance sont massacrés par les SS au camp de Struthof .
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Mémento des principaux mouvements politiques collaborationnistes
sous Vichy.
- PPF : Parti Populaire
Français (Jacques Doriot) - organe de presse: "Le Cri du Peuple de
Paris"
- MSR : Mouvement Social Révolutionnaire (Eugène
Deloncle)
- CSAR : Comité Secret d'Action
Révolutionnaire - appelé par dérision "La Cagoule". - organe de presse:
"La Vie nationale".
- RNP : Rassemblement National
Populaire (Marcel Déat) - organe de presse: "L'Oeuvre".
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La Parti franciste (Marcel Bucard) - organe de presse:
"Le Francisme".
- PFNC : Parti Français National
Collectiviste (Pierre Clementi) - organe de presse: "Le Pays
Libre".
- La Ligue française (Pierre Constantini) -
organe de presse: "L'Appel".
- Le Front franc
(Jean Boissel) - organe de presse: "Le Réveil du Peuple".
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Le Feu (Maurice Delaunnay) - organe de presse: "La
Tempête".
- Le Groupe Collaboration (Alphonse de
Châteaubriant) - organe de presse: "La Gerbe".
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- | (1898-1945). Député communiste en 1922, Secrétaire général de la Fédération françaises des Jeunesses Communistes en 1923, maire de St-Denis en 1930, Jacques Doriot est exclu du Parti Communiste en 1934 pour avoir pratiqué une politique unitaire avec les socialistes.
En 1936, il fonde le PPF (Parti Populaire Français) d'inspiration nationaliste, fasciste et anticommuniste. Pendant la guerre, Doriot et son parti préconise une politique de collaboration avec l'Allemagne. En septembre 1941, il s'engage dans la LVF (Légion des Volontaires Français) et combat sur le front de l'Est sous l'uniforme allemand. Le 22 février 1945, il est tué dans sa voiture, mitraillée sur une route allemande par un avion.
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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- | Spécialité de la police française aux ordres de l'occupant nazi ou de Vichy. La plus connue est la grande rafle du Vel' d'Hiv' (voir ce terme).
On le sait moins, la rafle du Vel' d'Hiv' a été précédée de quelques autres:
- 14 mai 1941: arrestation de 3.700 Juifs allemands, tchèques et polonais qui croyaient avoir trouvé refuge en France. "Parqués" dans les camps de Pithiviers et de Beaune-la-Rolande.
- 20 août 1941: arrestation à Paris de 4.000 Juifs. Direction Drancy.
- 6 décembre 1941: arrestation de 1.000 notables et intellectuels, presque tous Français, envoyés au camp de Compiègne.
- 16 et 17 juillet: Vel' d'Hiv'.
Les rafles ne se limitent pas à la zone Nord (occupée). Le 26 août: les Juifs de la Creuse qui avaient cru trouver refuge dans ce département sont pourchassés; les 26/28 août c'est le tour de Lyon et de Marseille. La liste est longue. Le calvaire des Juifs ne fait que commencer....
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Rassemblement National Populaire - RNP - Vichy |
- | Fondé en 1941 par Marcel Déat, le RNP est de tendance fascisante et ouvertement collaborationiste.
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Seconde Guerre Mondiale - SGM |
- | Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.
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LVF - Légion des Volontaires Français contre le bolchevisme. - Vichy |
- | Créée en 1941, la LVF recrute des soldats français qui, sous l'uniforme nazi, combattent essentiellement sur le front de l'Est aux côtés des Allemands.
Dissoute en 1944, les membres de la LVF, seront intégrés dans une division SS connue sour le nom "La Division Charlemagne".
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PPF - Parti Populaire Français - Vichy |
- | Fondé en 1936 par Jacques Doriot, transfuge du Parti Communiste. Se disant néo-socialiste (communiste nationaliste), le PPF se rallie à Pétain et prône la collaboration avec l'Allemagne nazie.
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SA - Sturmabteilung - Allemagne nazie |
- | Section d'assaut. Les SA constituaient les troupes de choc du NSDAP (parti nazi)formées en 1921 par Ernst Röhmer. Les SA jouent un rôle essentiel dans le putsch de la Brasserie en novembre 1923 ainsi que dans les combats de rue pour la prise du pouvoir par Hitler. Peu après la Nuit des longs couteaux, en 1934, Hitler se débarasse des principaux chefs SA devenus dangereux pour lui.
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- | Pour les distraits!
SA signifie également "Société Anonyme"... des fois où!
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SFIO - Section Française de l'Internationale Ouvrière - Divers |
- | Ancêtre du Parti Socialiste.
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SS - Schutzstaffel - Allemagne nazie |
- | "Echelon de protection" ou "Section de protection".
Créée en 1923, la SS est d'abord la garde prétorienne de Hitler. Sous l'impulsion de Heinrich Himmler qui en prend la tête le 6 juin 1929, elle devient la police du Reich. A partir de 1937, la SS est chargée de la gestion du système concentrationnaire.
Himmler portera le titre de "Reichsfürher-SS".
A partir de 1935, la SS se subdivise en différentes branches notamment:
- SS Verfügungstruppe (troupes mises à disposition), organisées militairement et qui deviennent, au début de la guerre, les Waffen SS.
- SS Totenkopf (tête de mort) chargées de la garde des camps de concentration.
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Dans ce texte : Triple paradoxe français. - 1920-1944 de Francis Deleu le mercredi 02 septembre 2015 à 19h37Bonsoir,
L’article que Marc-André Charguéraud nous confie ce mois de septembre met en exergue des crimes politiques surprenants ou comment des philosémites, marxistes et pacifistes deviennent des antisémites, pronazis et guerriers sous l’occupation allemande.
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Triple paradoxe français. - 1920-1944
Philosémites, marxistes et pacifistes devenus antisémites, pronazis et guerriers.
Pendant l’occupation allemande, Marcel Déat et Jacques Doriot sont les inspirateurs et les chefs des deux importants partis néonazis français. Le premier à la tête du Rassemblement National Populaire (RNP) et le second du Parti Populaire Français (PPF).
Durant l’entre-deux-guerres, les deux hommes furent cependant les soutiens déclarés de la Ligue Internationale contre l’Antisémitisme (LICA), une grande organisation philosémite. Déat déclare en avril 1936 au Droit de vivre, la revue de la LICA : « Je suis contre l’antisémitisme et le racisme ». Il est pro-sioniste, membre du Comité France-Palestine, ainsi que du Comité de défense du droit des Israélites en Europe centrale et orientale et du Comité de vigilance des intellectuels antiracistes.[1] Au moment des élections de 1932, dans un rapport de son Comité central, la LICA décerne à Doriot « un brevet de civisme et un témoignage de solidarité à notre organisation ». [2]
Rupture complète pendant l’occupation. La presse du RNP publie des articles violemment antijuifs pendant l’été et l’automne 1942. Les dirigeants exigent que les Juifs soient rejetés de la nation. [3] En août 1942, Déat tient un discours raciste sur le « sol », le « sang » et la « race », parlant « d’un élevage rationnel et sélectionné des petits Français », il évoque au passage les « stérilisations ». [4]
Doriot est plus brutal. Dès juin 1941, il déclare sans ambages : « Moi je veux que notre race redevienne la race française pure. Par conséquent j’interdis aux Juifs de se marier avec une Française ». [5] Au congrès de 1942, Doriot réclame l’adoption et l’application d’un programme raciste qui met les Juifs français au ban de la nation, en attendant une solution « européenne » sur leur sort. [6] Doriot franchit une étape supplémentaire, passant des paroles aux actes, quand 300 à 400 militants du PPF en uniforme participent à la rafle du Vel d’Hiv le16 juillet 1942. [7]
Avant la guerre, l’antiracisme se conjugue avec le pacifisme. « Contre l’antisémitisme pour la paix », « Pacifistes de tous les pays unissez-vous », tels sont les titres de Droit de vivre, le journal de la LICA. [8] « Le pacifisme a eu une importance proportionnée à la force de la détestation que la plupart des gens conservaient de l’expérience de la Première Guerre mondiale. Elle avait laissé un sentiment d’horreur absolu : ayant pris conscience de l’atrocité et de l’absurdité de la guerre, ils s’étaient juré de tout faire pour en prévenir le retour », écrit l’historien René Reymond. [9] Cette analyse s’applique parfaitement à Doriot et à Déat. « Doriot fut le héros et le leader des grandes campagnes antimilitaristes lancées par le parti communiste au cours de la décennie 1920 ». « Déat, pacifiste depuis toujours. Figure de proue du pacifisme français de la fin des années 1930 », écrit l’historien Simon Epstein. [10] Tous les deux sont en 1938 « munichois ». C’est le fameux cri de Déat en 1939 : « Mourir pour Dantzig, non ! » [11]
Alors comment comprendre que, quelques années plus tard, ces pacifistes soient prêts à « mourir pour le Reich ! » Car c’est bien leur nouvel engagement. Lorsqu’il reçoit un titre dans les SS, Déat prête serment d’allégeance à Hitler : « Je jure de t’obéir, à toi et aux chefs que tu m’auras désignés, jusqu'à la mort ». Une fois encore Doriot passe aux actes. En juin 1941, lors de l’invasion de l’URSS, il est un des fondateurs de la Légion des Volontaires Français contre le bolchevisme (LVF). Ils sont 6 000 dont une bonne moitié membres du PPF à rejoindre avec Doriot lui-même les troupes allemandes qui combattent les Russes. [12] Le pacifiste est devenu guerrier. Plus prudent Déat s’est contenté le 27 août 1941 de participer à Versailles à la cérémonie de départ des premiers combattants de la LVF. [13]
Troisième paradoxe, Déat et Doriot sont à l’origine des dirigeants marxistes militants. Or les pires ennemis des nazis, avant même les Juifs, ce sont les marxistes. Dans les années 1920 et début 1930, des batailles rangées dans les rues allemandes font des milliers de morts et des dizaines de milliers de blessés. Dès l’accession de Hitler au pouvoir, qu’ils soient communistes ou sociaux-démocrates, les SA les ont éliminés. Ils ont fui à l’étranger ou ont été emprisonnés par milliers dans des centaines de camps sauvages où les SA les ont martyrisés. [14]
En 1924, Doriot dirige les Jeunesses communistes, il est membre du Comité central du parti, député de la Seine, et en 1931 maire communiste de Saint-Denis. [15] Peut-on imaginer un marxiste plus engagé, plus convaincu ?
Déat est élu trois fois, en 1926, en 1932 et en 1939, député du parti socialiste SFIO. Il est brièvement ministre de l’Air du Front populaire en 1936. A l’époque la SFIO est un parti marxiste qui adhère à la Quatrième internationale dont la doctrine est « la destruction du système capitaliste comme régime de propriété et comme système d’oppression ». [16]
Précurseurs de la lutte contre le fascisme, Doriot et Déat sont devenus des suppôts de l’Europe nouvelle sous la botte du troisième Reich. [17] On dépasse ici collaboration, complicité ou connivence. Les deux hommes se sont intégrés au système nazi. Doriot résume sans équivoque son programme dans le Cri du peuple du 6 novembre 1942 : « Nous voulons faire de la France un pays totalitaire (…) national, socialiste, impérialiste, européen, autoritaire ». [18] L’organe de presse officiel du PPF a atteint les 100 000 exemplaires, c’est dire l’importance de sa diffusion. [19]
Il y a plus grave encore. Derrière eux Doriot et Déat ont entraîné des dizaines de milliers de militants. Ensemble le PPF et le RNP dépassent les 60 000 militants. [20] La grande majorité sont issus de la gauche d’avant guerre. En 1941, la Commission permanente du RNP de 14 membres, outre Déat, comprend 11 socialistes et 2 communistes. La même année, le directoire du PPF compte 5 communistes sur ses 11 membres. [21] L’historien René Reymond se demande « par quel étrange retournement ces précurseurs de la résistance au fascisme ont pu se muer en parangons de l’Europe nouvelle sous l’égide du troisième Reich ? » [22]
Jean-Paul Sartre donne une explication : « Si le pacifisme français a fourni tant de recrues à la collaboration, c’est que les pacifistes, incapables d’enrayer la guerre, avaient tout à coup décidé de voir dans l’armée allemande la force qui réaliserait la paix (...).Ils ont vu la victoire nazie apporter au monde une paix allemande comparable à la fameuse paix romaine (…) ainsi est né un des paradoxes les plus curieux de ce temps : l’alliance des pacifistes les plus ardents avec les soldats d’une société guerrière ». [23]
Que le pacifisme de Déat et de Doriot les ait entraînés à accepter la paix, la domination allemande, quoi de plus normal pour des hommes qui étaient prêts à accepter la paix quel que soit son prix. « Plutôt la servitude que la guerre ». [24] Mais ils ont franchi la ligne rouge en soutenant activement les guerriers allemands et en s’inféodant au régime nazi. En pacifistes convaincus, ils devaient suivre la voie prise par l’autre grand mouvement pacifiste, le Mouvement international de la réconciliation (MIR).
André Trocmé, le pasteur emblématique du Chambon-sur-Lignon était l’exemple à suivre. Membre du MIR depuis les années 1920, il en deviendra le président après la guerre. Pacifiste, objecteur de conscience, il prône la non-violence. Son engagement dès 1934 : « trouver un moyen de résister au nazisme sans tuer des hommes ».[25]
Il sauvera des centaines de Juifs et refusera toute collaboration avec les autorités de Vichy et l’occupant. Il appelle ses fidèles à « opposer les armes de l’Esprit à la violence exercée sur leur conscience. » [26] Il réprouve la résistance armée qui s’installe aux portes du Chambon.
Déat, Doriot et leurs dizaines de milliers de militants ont préféré suivre la voie de la trahison de la cause du pacifisme, ils ont renié leurs convictions marxistes et antiracistes. Ils ont « vendu leurs âmes au Führer ». Des « hommes de gauche authentiques, parmi les plus sincères et les plus engagés de l’avant-guerre, ont rejoint les partisans d’une collaboration directe avec l’Allemagne nazie ». [27]
[1]EPSTEIN Simon, Un paradoxe français. Antiracistes dans la collaboration et antisémites dans la résistance .
Albin Michel, Paris, 2008, p. 196
[2] Ibid. p. 222.
[3]Ibid. p. 196
[4] BURRIN Philippe, La dérive fasciste , Seuil, Paris, p. 442.
[5] EPSTEIN, op. cit. p. 226.
[6] BURRIN, op. cit. p. 484.
[7] Ibid. p. 475.
[8] EPSTEIN, op. cit. p. 267.
[9] REYMOND René, introduction p.17 in HANDOURZEL Rémy et BUFFET Cyril, La collaboration à gauche aussi...Perrin, Paris, 1989.
[10] EPSTEIN, op. cit. p. 368.
[11] Ibid. p.196.
[12] EPSTEIN, op. cit. p. 227. BURRIN, op. cit. p. 472.
[13] BURRIN, op. cit. p. 429. Déat sera blessé dans un attentat lors de la cérémonie.
[14] CHARGUERAUD Marc-André, Tous coupables. Les démocraties occidentales et les communautés religieuses face à la détresse juive. 1933-1940 . Cerf, Labor et Fides. 1998, chapitre 5, p, 89.
[14] HANDOURZEL et BUFFET, op. cit. p. 196. EPSTEIN, op. cit. p. 221.
[15] BURRIN, op. cit. . 147.
[16] REYMOND, op.cit. p. 13.
[17] HANDOURZEL et BUFFET, op.cit. p. 197.
[18] BURRIN, op. cit. p. 466.
[19] ZUCCOTTI Susan, The Holocaust, the French and the Jews , New York, 1993, 1993, p. 281. Citant Henri ROUSSO, La Collaboration, les noms, les thèmes, les lieux , MA Editions, Paris, 1987. DREYFUS François-Georges, Histoire de Vichy, Vérités et Légendes , Perrin, Paris, 1990, p. 686.
[20] EPSTEIN, op. cit. p. 330 et 332.
[21] REYMOND, op. cit. p. 13.
[22] EPSTEIN, op. cit. p. 360
[23] REYMOND, op. cit. p. 17.
[24] MENUT George. André Trocmé, un violent vaincu par Dieu in ECREVE André et POUJOL Jacques éd. Les Protestants Français pendant la Seconde Guerre mondiale , Actes du colloque de Paris les 19-21 novembre 1992. Société de l’Histoire du Protestantisme français, juillet-septembre 1994. p. 391.
[25] www.chambon.org/lesl_texte_1940_fr.htm
[26] HANDOURZEL, op. cit. p. 26.*** / *** |
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