La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Traité de Versailles de Etienne Lorenceau le dimanche 01 mars 2015 à 17h01Il est navrant (et pour tout dire irritant) d'entendre répéter à l'envie comme s'il s'agissait d'une vérité historique, l'argument d'Hitler sur le traité de Versailles et le coût des réparations comme cause de l'hyper-inflation en Allemagne et de la crise économique qui a frappé les citoyens de ce pays.
En effet le traité de Versailles ne fixe pas le montant des réparations alors que Clémenceau avait souligné que les Allemands avaient détruit systématiquement, Y COMPRIS DANS LEUR RETRAITE, les industries françaises épargnées par le conflit.
Par ailleurs les auteurs qui n'hésitent pas à mettre sur le compte de la France et le cout des réparations la responsabilité de la deuxième guerre mondiale oublient que les allemands avaient demandé et obtenu de la Russie soviétique des montants de réparation supérieurs (au terme du traité de Brest Litovsk).
Enfin ces "historiens" oublient que les Américains et Britanniques ont établi le plan Dawes qui a joué un rôle essentiel dans la stabilisation d'après guerre et oublient le plan Young qui a succédé au plan Dawes et la crise de 1929.
Donc avant de conclure sur les causes il faudrait au moins reconsidérer les arguments des nazis au lieu de les reprendre servilement simplement au titre que nos alliés américains (John Foster et Allen Dulles en tête) trouvaient plus que leur compte dans les transactions avec Hjalmar Schacht... et l'orgueil nationaliste des militaires soit disant "poignardés dans le dos" alors que Ludendorff avait énoncé au Kaiser, au terme de "l'offensive de printemps" [1918] suivant la la capitualtion très avantageuses pour l'Allemagne au détriment des Russes, qu'il n'était "pas en mesure de tenir le front un jour de plus" avant de s'enfuire en Suède avec de faux papiers.
Donc il vaut mieux chercher les causes dans les tricheries comptables allemandes, la politique révolutionaire du Kommintern, et le cout d'un réarmement qui n'avait pas attendu Hitler. *** / *** |
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