La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Au sens strict "Abteilung" pourrait se comprendre comme étant la partie d'un ensemble.
Dans la Wehrmacht, le terme prend diverses significations selon son utilisation. Dans la majorité des cas, "Abteilung" signifie "bataillon". Le terme est également utilisé pour désigner un détachement (un détachement d'armée par exemple), une section ou un département.
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- | Dans l'armée suisse, à l'instar de la Wehrmacht, le terme désigne aussi un corps de troupe composé de plusieurs unités (compagnies, batteries) mais se traduit en français par "groupe" ("gr art" pour "groupe d'artillerie" [Art Abt / Artillerie Abteilung] ou "gr DCA" pour "groupe de défense contre avions" [Flab Abt / Fliegerabwehr Abteilung), alors que "bataillon (bat)" se traduit en allemand par "Bataillon (Bat)" ("Inf Bat" pour "Infanterie Bataillon" [bat inf / bataillon d'infanterie] ou "Pz Bat" pour "Panzer Bataillon" [bat chars / bataillon de chars).
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Combat - Résistance (France) |
- | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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- | Instituée le 30 janvier 1943, sous l'autorité du chef du gouvernement, Vichy se dote d'une troupe de choc, La Milice, sorte de garde prétorienne, chargée du maintien de l'ordre et plus particulièrement de la traque des communistes et des Résistants. A la tête de la Milice: Joseph Darnand.
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Seconde Guerre Mondiale - SGM |
- | Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.
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Wacht am Rhein - Allemagne nazie |
- | Nom de code donné par les Allemands au projet d'offensive dans les Ardennes prévue pour décembre 1944. Ce nom de code "Wacht am Rhein" (Garde sur le Rhin) avait été choisi pour faire croire aux Alliés que la concentration de troupes dans le secteur des Ardennes n'avait d'autre but que de défendre les frontières du Reich.
L'opération "Wacht am Rhein" prit le nom d'opération "Herbsnebel" (*) (brouillard d'automne) dans sa phase offensive.
(*) voir ce terme.
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PC - Poste de Commandement |
- | ndlr : il arrive que le lecteur distrait confonde PC et PC. Exemple: "Giraud quitte son PC" ne veut pas dire "quitte son Personal Computer", ni "quitte son Parti Communiste" mais tout bêtement "quitte son Poste de Commandement".
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SA - Sturmabteilung - Allemagne nazie |
- | Section d'assaut. Les SA constituaient les troupes de choc du NSDAP (parti nazi)formées en 1921 par Ernst Röhmer. Les SA jouent un rôle essentiel dans le putsch de la Brasserie en novembre 1923 ainsi que dans les combats de rue pour la prise du pouvoir par Hitler. Peu après la Nuit des longs couteaux, en 1934, Hitler se débarasse des principaux chefs SA devenus dangereux pour lui.
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- | Pour les distraits!
SA signifie également "Société Anonyme"... des fois où!
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SS - Schutzstaffel - Allemagne nazie |
- | "Echelon de protection" ou "Section de protection".
Créée en 1923, la SS est d'abord la garde prétorienne de Hitler. Sous l'impulsion de Heinrich Himmler qui en prend la tête le 6 juin 1929, elle devient la police du Reich. A partir de 1937, la SS est chargée de la gestion du système concentrationnaire.
Himmler portera le titre de "Reichsfürher-SS".
A partir de 1935, la SS se subdivise en différentes branches notamment:
- SS Verfügungstruppe (troupes mises à disposition), organisées militairement et qui deviennent, au début de la guerre, les Waffen SS.
- SS Totenkopf (tête de mort) chargées de la garde des camps de concentration.
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Dans ce texte : Ligne de Front n° 53 de Francis Deleu le mardi 17 février 2015 à 22h14+ La SS-Division «Totenkopf» à Luchno - Septembre 1941 - Au nord du front russe La SS‑Division « Totenkopf » participe dès le début à l’invasion de l’Union soviétique. D’abord dépendante, avec les 8. Panzer-Division, 3. Infanterie-Division (mot.),
290. Infanterie-Division, du 56. Armee-Korps (mot.), elle attaque au nord du nouveau front, envahissant la Lettonie, participant à la marche sur Moscou. Évoluant sur une terre désolée caractérisée par des champs parsemés de routes marécageuses, elle peine tout de suite à gagner du terrain. Elle passe sous le commandement du General der Infanterie Manstein et échoue à prendre Ostrov. La situation s’améliore, puisqu’à la mi-août, elle met quatre jours pour parcourir 260 kilomètres. Elle joue alors un rôle important en permettant aux 11. et 34. Armeen de fusionner au sud du lac Ilmen.
par Didier Laugier. + "Wacht am Rhein" - Les coulisses d'un échec(Hitler) : Votre armée est-elle prête ? (Dietrich) : Pour une offensive, non ! (Hitler) : Vous n’êtes jamais satisfait ! Ce bref échange du 12 décembre 1944 entre Hitler et « Sepp » Dietrich, « patron » de la 6. SS-Panzer-Armee, au quartier général de Bad Nauheim laisse mal présager de l’opération « Wacht am Rhein ». Elle sera pourtant déclenchée quelques jours plus tard, le 16 décembre, à 5h30.
par Loïc Charpentier. + Retour vers le passé - La part médiévale de la grande guerreDéclenchée sur une période « à cheval » sur deux époques – celle en devenir faisant grand cas de l’industrialisation, celle en passe de disparaître étant empreinte de procédés désormais vus comme empiriques –, la guerre européenne de 1914 débute « à deux vitesses ». Ses stratégies, si elles ont des fondements qui remontent aux guerres des XVIIIe et XIXe siècles (rappelons que le mode de guerre napoléonien restera le fil directeur des belligérants jusqu’en 1918), sont basées presque toutes sur l’offensive et « actualisées » par des armes en concordance avec leur époque. Aussi, lorsqu’à partir d’octobre 1914 les Français, contre toute attente, s’engluent dans la boue des tranchées, ils se trouvent démunis face aux Minenwerfer allemands, car dépourvus des armements spécifiques permettant de conduire un combat statique, et doivent élaborer dans l’urgence une gamme de matériels de circonstance, dont l’origine remonte parfois à la nuit des temps. Ainsi, de façon paradoxale, un « retour vers le passé » va être nécessaire pour optimiser de nouvelles méthodes de combat.
par Alexandre Thers. + La destruction du Chaberton - Le fort le plus haut et le plus puissant du mondeLe 8 juin 1891, le 14e corps d’armée (PC à Lyon) adresse à l’état-major de l’armée (Paris) une note sibylline : « On a appris de bonne source que les Italiens allaient construire un petit fort du côté du Chaberton… »
Cette information, initialement anodine, allait entraîner la plus vaste campagne d’espionnage qui ait été menée sur le front des Alpes, mais surtout de gros soucis chez les militaires français chargés de défendre la frontière.
par Max Schiavon. + SA: L'autre armée politique - Petite histoire de la Wafen-SAApparue dès 1920 comme milice de masse du parti national-socialiste, la SA (Sturm-Abteilung, ou « section d’assaut ») et ses membres, les « Chemises brunes », jouent un rôle majeur dans l’accession d’Hitler au pouvoir. On ne sait pas toujours que malgré son éviction du devant de la scène après la « Nuit des longs couteaux » de 1934, l’organisation va perdurer et continuer à jouer un rôle important, non plus seulement politique mais aussi militaire, ce pendant toute la durée de la guerre.
par Vincent Bernard. + Les paras des antipodes - Sud-Africains, Australien et Canadiens dans la Seconde Guerre mondialeS’il est courant d’évoquer les actions des troupes aéroportées alliées pendant la Seconde Guerre mondiale, l’histoire des parachutistes des États membres du Commonwealth est peu relatée. Nous avons choisi d’étudier son évolution au sein de trois des plus représentatifs d’entre eux, une mise en parallèle qui permet d’avoir une bonne idée des perceptions de l’arme au sein de Haut commandements différents, de leurs aléas, succès et échecs.
par Yann Mahé. + Opération «Orient» - Le plan secret de RommelAu début de l’année 1941, Rommel propose à Hitler et à l’état-major allemand un plan visant à prendre Tobrouk et à marcher sur le canal de Suez. Cette opération « Orient » – déjà audacieuse par elle-même – n’est en réalité que la première phase d’un projet d’ensemble beaucoup plus vaste : le stratège espère tout simplement, après avoir conquis l’Égypte, atteindre le golfe Persique par l’Irak et Abadan… Une fois s’être assuré des riches gisements pétroliers de la région, son Afrika-Korps serait – en cas de guerre contre l’URSS – en mesure soit de remonter vers le Caucase – jusqu’aux champs pétrolifères de Bakou – soit de continuer plein est vers l’Inde, à la rencontre des forces armées japonaises.
par Alexandre Thers. *** / *** |
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