La description du sujet
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Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé :
Combat - Résistance (France) |
| - | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Pour en finir avec la ligne Maginot de Francis Deleu le samedi 07 février 2015 à 18h04
Bonsoir,
Dès le début de la construction de la ligne Maginot, le gouvernement belge, par la voie de son ambassadeur à Paris, le Baron de Gaiffier d'Hestroy, demanda la prolongation de la ligne jusqu'à la Mer du Nord. Estimant que plus l'Allemagne rencontrerait d'obstacles sur son chemin, moins elle serait tentée d'attaquer par la Belgique. Cette dernière, comme nous l'avons déjà mentionné, multiplia les démarches auprès du gouvernement français sans résultat. Il s'agissait pour la France de porter le combat en-dehors du territoire français et ainsi l'épargner. Cette solution permettait aussi de s'assurer le renfort de l'armée belge et de retarder la progression de l'armée allemande.
Un communiqué officiel publié le 31 octobre 1936 à Paris, avec l'accord du Quai d'Orsay et du Ministère de la Guerre s'exprimait ainsi : En 1932, le Baron de Gaiffier d'Hestroy, alors ambassadeur de Belgique à Paris, avait été chargé par son gouvernement de faire connaître aux milieux officiels français que la Belgique serait heureuse de voir la France fortifier sa frontière du Nord, et apporter ainsi à la défense de notre territoire contre toute attaque éventuelle venant de l'Est, un appoint considérable, aussi matériel que moral. [*] Ces démarches furent renouvelées à plusieurs reprises, notamment le 7 novembre 1933 auprès de M. de Tessan, sous-secrétaire d'Etat au Ministère des Affaires Etrangères. La même année, des interventions dans le même sens furent effectuées auprès de Daladier, du général Gamelin, de Messimy, président de la Commission sénatoriale de l'armée, etc.... Les travaux souhaités par la Belgique ne furent jamais réalisés en raison de l'opposition des responsables militaires français qui se réservait la Belgique comme un vaste champs de manœuvre (dixit Pétain).
Comme déjà noté, les élus français du Nord réclamaient également le prolongement de la ligne Maginot. Il leur fut répondu que les dépenses exigées pour une tel ouvrage étaient excessives. ...quelles lectures quilibrées recommenderiez vous sur la position de la Belgique au regard de la France (et vice versa) sur la ligne Maginot au moment de sa construction (surtout dans les phases finales) avant la guerre ? (Etienne) Je vous recommanderais les deux ouvrages de Roger Bruge :
- Faites sauter la ligne Maginot : 
- On a livré la Ligne Maginot :
Bien cordialement,
Francis.
[*] Marcel-Henri Jaspar, Ambassadeur de Belgique, Souvenirs sans retouche, Fayard, 2968*** / *** |
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