le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
|
SR - Service de Renseignements - France libre |
- | Créé et dirigé par le colonel Passy, le SR deviendra le BCRAM (Bureau Central de Renseignements et d'Action Militaire), précurseur du BCRA.
|
SR - Parti socialiste révolutionnaire - Union soviétique |
- | Parti socialiste révolutionnaire. Créé en 1902, le Parti socialiste révolutionnaire se réclame des traditions populistes du mouvement révolutionnaire russe. Plus proche du monde paysan que du monde ouvrier, le SR entrera en conflit avec le parti de Lénine.
|
Dans ce texte : Demande de pécision(s) de Christian Rossé le jeudi 22 janvier 2015 à 21h50
Pour être d’accord, il faut se comprendre. Or, je ne suis pas sûr de tout saisir dans votre message, c’est pourquoi je me permets de vous demander quelques précisions avant de vous répondre. Je vous prie de m’en excuser.
Vous écrivez :
« les sympathies du Général Guisan ont évolué tout en se rapprochant progressivement de celles affiché à la population suisse qui l'avait élu »Pourriez-vous être plus précis ? De quelles sympathies part-on et quelles sont celles auxquelles on arrive ? Et surtout, quelle est la chronologie de cette évolution ? Quelles sympathies, à votre avis, animent Guisan lors de son rapport du Grütli en juillet 1940, lequel fait monter aux créneaux les officiers pro-allemands, Wille et Däniker en tête ?
Vous écrivez :
« Or ce même Paul Meyer-Schwertenbach est […], celui qui invitait le Général Guisan et son épouse à des soirées privées où il y avait surtout des allemands et/ou pro nazis. »Puis-je connaître vos sources en ce qui concerne les invités de Paul Meyer ?
Vous écrivez :
« …j'apprend du llivre de de Pierre Th. Braunschweig… »Pourriez-vous donner la page ?
Vous écrivez :
« Or ce que nous savons du traitement indépendant de Eggen, nous ne le savons que par les rapports d'interrogations de... Paul Meyer-Schwertenbach. »Que voulez-vous dire ? Qu’entendez-vous par « traitement indépendant » ?
Vous écrivez :
« En ce qui concerne Gustav Däniker (sujet secondaire) je ferai remarquer en réponse qu'il n'a été exclu que pour n'avoir pas gardé secrètes ses sympathies nazies parfaitement acceptable en interne dans les services […] »
Qu’entendez-vous par « acceptable en interne dans les services » ? Quels services ? Pas du SR, j’imagine, puisqu’il n’en faisait pas partie.
Pour répondre à votre dernière question, l’inspecteur Knecht appartient à la Police fédérale, laquelle appartient au Département fédéral de justice et police et est donc indépendante de l’armée.
Marc (et non Eric) Payot n’a pas procédé à des arrestations. Criminologue et travaillant pour le bureau du Chiffre pendant la guerre, il officie en tant qu’expert durant l’enquête. Il déchiffre les messages interceptés, analyse les écritures manuscrites, etc. *** / *** |