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Le mythe de l'absence de paix séparée de Etienne Lorenceau le vendredi 16 janvier 2015 à 13h31

Certes la reddition sans conditions de l'Allemagne, apprise après l'armistice de 1918 avait clairement un poids que Churchill et Roosevelt étaient prêt à payer en vies humaines mais la paix en Italie fut une sorte de coup d'état fait par himmler contre hitler et les militaires. Les retourenment de la Roumanie, de la Bulgarie et celui tenté de la Hongrie visaient pour Churchill à dimminuer les conséquences après-guerre de la conférence de Téhéran (puis de Yalta) qu'il avait très mal vécu parce qu'il s'était trouvé face au bloc Staline/Roosevelt.

Nous oublions trop souvent que ce ne sont pas nos amis Américains qui ont gagné la deuxième guerre mondiale (même si leur aide a été infiniement précieuse) mais nos "amis" soviétiques qui après avoir arrêté les allemands à Stalingrad, les ont anéantis psychologiquement (et en termes de réserves) à Kursk, le vrai tournant de la guerre.
Nos frères américains nous ont juste évité de tomber sous le joug du colonialisme soviétique quand leurs politiciens auraient volontier fait de l'Europe une colonie américaine après avoir démantelé à leur profit les empires coloniaux anglais et français dans une ONU à leur botte: d'où la nécessité d'absence de toute paix séparée
Ma gratitude va certes à Churchill mais aussi aux innombrables jeunes américains qui ont cru, comme nous, à la soif de liberté et de démocratie qui leur était brandie et ont mis leur vie en ligne pour la délivrer.

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