La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Zone - Résistance (France) |
- | En zone Nord occupée, les régions étaient désignées par les lettres:
P : région de Paris.
A : région d'Amiens.
B : région de Bordeaux.
C : région de Châlons-sur-Marne.
D : région de Dijon.
M : Région de Le Mans.
En zone Sud, les régions étaient désignées par la lettre R suivie de 1 à 6.
(voir "R")
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- | Désigne la Zone Libre (ZL) ou Zone Non Occupée (ZNO) avant l'invasion et l'occupation par les troupes allemandes, en 1942, du Sud de la France.
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Dans ce texte : excellent... et que c'est lent ! de françois delpla le mardi 09 décembre 2014 à 10h10Belle leçon d'attention et d'équité.
Cependant, sur le coeur de l'affaire, qui me semble être le pilotage de Pétain et de sa "France" par Hitler, quelques bribes, dont une seule directe :
"L'existence du gouvernement de Vichy elle-même ne découle pas
seulement des manœuvres de Pétain et de Laval pour arriver au pouvoir, mais aussi de la politique
d'Hitler qui voulait avoir quelqu'un comme Pétain à la tête de la France. Indéniablement, la
détermination relativement faible de Hitler à appliquer la Solution finale en France est un facteur
explicatif de ces fameux 75
%. Dira-t-on pour autant que Hitler a sauvé des Juifs de France
?"
Ce que j'appellerai "bribes indirectes", c'est d'une part l'affirmation, réitérée et bien argumentée, suivant laquelle le sauvetage des Juifs par des particuliers n'était réprimé ni par Vichy ni par les Allemands, d'autre part l'information suivant laquelle les salariés juifs de la CSF, repliés à Lyon par l'employeur, n'ont nullement été déportés ou inquiétés après l'invasion de la zone sud.
Dans les deux cas, la décision, du moins au niveau du principe, ne pouvait guère être qu'adolfienne. Elle mérite en tout cas d'être désormais, et avec zèle, traquée comme telle.*** / *** |
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