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Au sommaire du n° 56 de Francis Deleu le mardi 30 juillet 2013 à 16h03

Blindorama : Thaïlande

En 1932, la monarchie absolue siamoise est renversée par le Parti du peuple, rassemblant de jeunes étudiants et officiers formés en Europe et aspirant à jouer un rôle politique dans leur pays. La faction militaire réussit ensuite à écarter du pouvoir les civils et se lance dans un vaste programme d’armement. Il faut dire que le régime fascisant du général Phibun Songkhram ambitionne de reconquérir le Laos et le Cambodge, perdus au détriment de l’Indochine française au XIXe siècle, ainsi que les États shans de Birmanie et les quatre États du nord de la Malaise arrachés par la Grande-Bretagne.
par Yann Mahé.

Le 22 juin 1940, la signature de l’armistice dans la clairière de Rethondes et la mise au pas de l’Armée française par l’Occupant ne mettent certainement pas fi n aux activités militaires en France, qui se poursuivent plus ou moins clandestinement dans le cadre de l’armée d’armistice. Les causes de la défaite sont ainsi minutieusement analysées au travers des matériels de la Cavalerie qui ne se sont pas révélés inférieurs aux Panzer.
par Laurent Tirone.

Les premiers jours de l’opération « Barbarossa » sont loin de constituer une promenade de santé pour toutes les unités de l’Ostheer en juin 1941, surtout pour celles faisant l’amère découverte des plus lourds chars de l’arsenal de l’Armée rouge : les monstrueux KV-1 et KV-2 ! Quelques témoignages de vétérans des Flak-Regiment « Hermann Göring » et 11. Panzer-Division nous détaillent ces bien mauvaises rencontres…
par Didier Laugier.

De l’offensive allemande des Ardennes, l’on retient plus volontiers, poids des images oblige, le carnage de la SS-Kampfgruppe « Hansen » à Poteau ou la prise de Stoumont par la gepanzerte Kampfgruppe « Peiper ». Durant la première phase de la bataille, le tempo imposé par les Allemands dans certains secteurs ne permet pas souvent aux Américains de tirer leur épingle du jeu. Et pourtant, à Freyneux, le 24 décembre 1944, trois Sherman vont dicter leur loi à la compagnie de Panther de l’as des Panzer Fritz Langanke !
par Yann Mahé.

Après avoir percé le premier le front de la Meuse, Erwin Rommel se lance à l’assaut de la France. Le passage de la frontière se déroule comme à l’exercice, ce qui encourage l’intrépide général à poursuivre vers la Sambre en prenant tous les risques !
par Hugues Wenkin.

Le jeudi 2 août 1990, Saddam Hussein envahit le Koweït. Le Sheikh Jaber Al Ahmed Al Sabah choisit alors l’exil et fait appel à l’ONU pour restaurer la souveraineté de son pays. Le 6 août, le Conseil de sécurité vote une série de sanctions économiques à l’encontre de l’Irak, mais une intervention militaire semble inévitable.
par Luc Vangansbeke.

Robert C. Dick est le pilote du Sherman n° 60 de la C Company du 763rd Tank Battalion. Son équipage comprend le Sergeant Ovid W. « OW » French (chef de char), Henry Fisher (copilote/mitrailleur), Roy Greenup (chargeur) et Jim Anderson (tireur). Après avoir participé à la reconquête de Leyte, aux Philippines, les cinq hommes sont engagés à Okinawa, où le récit de Dick nous emmène. Ce jeune Californien nous livre un témoignage authentique sur les conditions de combat et de vie à bord du Sherman au plus fort de la bataille.
par Yann Mahé.

La Seconde Guerre mondiale recèle de morceaux de bravoure incroyables et d’anecdotes aussi sulfureuses que passionnantes. Et si l’on vous disait que les deux généralissimes de l’Armée française de 1940, un vainqueur de la Coupe Davis et deux anciens présidents du Conseil avaient fait le coup de feu à quelques jours de la fin du conflit avec des GIs et des Landser contre des Waffen-SS de la 17. SS-Panzer-Grenadier-Division « Götz von Berlichingen » ? Vous ne nous croiriez certainement pas, peut-être même nous accuseriez vous d’avoir abusé d’Expandables… Et pourtant, c’est bel et bien ce qu’il s’est passé le 5 mai 1945 !
par Vincent Bernard.

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