La description du sujet
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Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
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Mémento des principaux mouvements politiques collaborationnistes
sous Vichy.
- PPF : Parti Populaire
Français (Jacques Doriot) - organe de presse: "Le Cri du Peuple de
Paris"
- MSR : Mouvement Social Révolutionnaire (Eugène
Deloncle)
- CSAR : Comité Secret d'Action
Révolutionnaire - appelé par dérision "La Cagoule". - organe de presse:
"La Vie nationale".
- RNP : Rassemblement National
Populaire (Marcel Déat) - organe de presse: "L'Oeuvre".
-
La Parti franciste (Marcel Bucard) - organe de presse:
"Le Francisme".
- PFNC : Parti Français National
Collectiviste (Pierre Clementi) - organe de presse: "Le Pays
Libre".
- La Ligue française (Pierre Constantini) -
organe de presse: "L'Appel".
- Le Front franc
(Jean Boissel) - organe de presse: "Le Réveil du Peuple".
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Le Feu (Maurice Delaunnay) - organe de presse: "La
Tempête".
- Le Groupe Collaboration (Alphonse de
Châteaubriant) - organe de presse: "La Gerbe".
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- | Instituée le 30 janvier 1943, sous l'autorité du chef du gouvernement, Vichy se dote d'une troupe de choc, La Milice, sorte de garde prétorienne, chargée du maintien de l'ordre et plus particulièrement de la traque des communistes et des Résistants. A la tête de la Milice: Joseph Darnand.
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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SR - Service de Renseignements - France libre |
- | Créé et dirigé par le colonel Passy, le SR deviendra le BCRAM (Bureau Central de Renseignements et d'Action Militaire), précurseur du BCRA.
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SR - Parti socialiste révolutionnaire - Union soviétique |
- | Parti socialiste révolutionnaire. Créé en 1902, le Parti socialiste révolutionnaire se réclame des traditions populistes du mouvement révolutionnaire russe. Plus proche du monde paysan que du monde ouvrier, le SR entrera en conflit avec le parti de Lénine.
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Dans ce texte : Confiance ou...surveillance de Christian Favre le jeudi 18 juillet 2013 à 07h35A la page 45 :
En effet, Masson laisse à ses chefs de bureaux et de sections une indépendance extrême, sans jamais s'immiscer dans le fonctionnement interne de leurs structures
....
C'est le mérite de Masson d'avoir su s'entourer d'un petit cercle de collaborateurs capables, mais dotés de fortes personnalités. Ces officiers, le plus souvent de milice, s'organisent intuitivement dans l'urgence et ils remplacent par le bon sens leurs insuffisantes connaissances techniques. Le chef du S.R., trop confiant par nature, laisse cet état de fait perdurer durant tout le service actif au lieu de corriger le tir par des ordres précis et des contrôles réguliers. De là résulte cette impression générale de flottement qui finit par indisposer même les plus indépendants parmi les collaborateurs du S.R Toutefois, on ne peut passer sous silence que cette situation permit fréquemment l'adoption de méthodes très efficaces bien que fort peu conventionnelles par des esprits qui ne l'étaient pas moins .
Si, comme cela semble être le cas, Masson a su choisir effectivement des gens capables et intelligents, alors l'option confiance était la meilleure comme cela s'est avéré.
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Tout autre chose:
Il est fort regrettable que le monde politique suisse ne prenne pas conscience que la SSR (radio/TV) devrait avoir pour mission de transmettre au public les recherches des historiens et pas seulement des historiens engagés politiquement. Sans le concours de la radio/TV cette thèse restera totalement ignorée. Evidemment toutes les thèses ne nous révèlent pas des faits de cette importance et il serait donc souhaitable qu'existe une collaboration entre les historiens et les journalistes de la SSR. Comment se fait-il que les historiens suisses ne s'aperçoivent pas de ce manque évident de transmission de leur savoir par la radio/TV ? *** / *** |
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