La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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SAS - Special Air Service - Grande-Bretagne |
- | Les SAS avaient un rôle essentiellement d'action : sabotage, destruction, élimination, etc......
(Merci à Laurent Pink panther)
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Dans ce texte : Comprendre la guerre d'Algérie de Emmanuel de Chambost le lundi 08 avril 2013 à 22h24Je ne saurais trop conseiller l'excellent Jacques Duquesne, Pour comprendre la guerre d'Algérie, qui donne quelques éléments pour répondre aux questions que tout le monde se pose, mais qui en montre surtout la complexité. Un petit chapitre y est notamment consacré aux Harkis. Je peux scanner ces 8 pages pour un quelqu'un n'a pas le livre sous la main.
Duquesne cite Mohand Hamoumou qui souligne que du 19 mars 62 à l'Indépendance, les Harkis se sentaient peu menacés. Duquesne met aussi au dossier la circulaire de Pierre Joxe, en charge de l'Algérie, qui précisait: « Les supplétifs débarqués en métropole en-dehors du plan général de rapatriement seront renvoyés en Algérie... »
Il n'y eut guère de renvois, beaucoup d'officiers SAS purent rapatrier leurs hommes en douce, mais il fallut attendre le 17 mai 1963 pour que les unités françaises encore stationnées en Algérie reçoivent l'ordre de porter secours aux familles des supplétifs déjà évacués en France - et Duquesne de conclure:
« Ce drame ne jette pas seulement une tâche rouge sur les autorités du FLN qui -on l'a vu - en avaient bien d'autres à leur actif. Il en ajoute une aux négligences, incompétences et désarroi des autorités françaises. »
Emmanuel *** / *** |
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