le Glossaire de Francis a trouvé : France Libre - France libre |
- | Mouvement politique et militaire, créé en juin 1940 par le Général Charles de Gaulle. Déniant toute légitimité au Maréchal Pétain, elle s'opposera militairement à ses forces pour obtenir le ralliement partiel de "l'Empire". En 41 et 42 elle fut la seule force militaire française présente sur les champs de bataille aux cotés des Britanniques . Ensuite son autorité fut acceptée par les mouvements de résistance intérieurs puis, par les autres forces françaises présentes à l'extérieur du territoire. En 1944 la France Libre rétablira la république tout en participant à la victoire contre les nazis.
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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AOF - Afrique Occidentale Française |
- | Territoire de l'Empire français.
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PS - Poste de secours - France |
- | Poste de secours à ne pas confondre avec un parti politique.
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Dans ce texte : Paternalisme colonial ? de Francis Deleu le samedi 01 décembre 2012 à 15h41Bonjour,
Je ne vois pas d'explication pour l'une ou l'autre formulation si ce n'est une certaine empathie pour ces Africains ou Antillais d'origine africaine ayant trouvé leur place dans le giron de la France et de sa civilisation.
Félix Eboué, né à Cayenne, était le petit-fils d'un esclave d'Afrique noire. Catroux fait-il allusion au décret d'abolition de l'esclavage ainsi qu'au décret d'émancipation qui ont permis aux Antillais d'accéder à des postes de responsabilités politiques ?
L'ouvrage de Catroux date de 1947 à une époque où la condescendance pour les "indigènes" des colonies était la règle... dont nous sommes pas totalement immunisés. En publiant ce portrait, je souhaitais montrer le contraste violent entre cette condescendance méprisable de Boisson, gouverneur de l'AOF et celle de Catroux.
Ayant relu, en parallèle, le livre de Henri de Wailly, je fus surpris par le mépris haineux qu'affiche l'historien pour la plupart des "rebelles" de la France Libre. Catroux, par contre, tente de comprendre l'attitude de ses adversaires restés fidèles à Vichy sans jamais verser dans l'outrance.
Bien cordialement,
Francis.
PS. Su ça te vas, le prochain portrait sera celui du général Collet. *** / *** |