le Glossaire de Francis a trouvé : Barbarossa - Allemagne nazie |
- | Nom de code de l'attaque allemande lancée contre l'URSS le 22 juin 1941.
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- | Le webslave après un repas de spaghetti ?
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Sir (Basil Lidell Hart) - Grande-Bretagne |
- | Comme pour le Général Patton, je m'étonne de ne pas trouver mot sur ce grand écrivain, spécialiste des guerres mondiales.
Note : Le glossaire est en chantier permanent ! N'hésitez pas à participer et à déposer vos définitions ou courtes biographies.
FD
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GR - Groupe de Reconnaissance |
- | Les Groupes de Reconnaissance étaient le domaine de prédilection des spahis qui s'y illustrèrent par leur bravoure tout au long du conflit.
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OKH - Oberkommando des Heeres - Allemagne nazie |
- | Haut commandement de l'armée de terre allemande.
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Dans ce texte : Sur la piste d'une officine de françois delpla le samedi 01 septembre 2012 à 16h01Bonnes retrouvailles !
Vous écrivez sur Passion-histoire :
Halder lance une ébauche d'étude opérationnelle de guerre à l'est" (p.86, avec note infrapaginale référençant les documents suivants liés au sujet de cette ébauche : G.R. Ueberschaer, "Hitlers Entschluss zum Lebensraum-Krieg im Osten, Programmatisches Ziel oder militärisches Kalkül?", B.R. Kroener, "Der erfrorene Blitzkrieg", Strategische Planungen der Deutschen Führung gegen die Sowjetunion und die Ursachen ihres Scheiterns" in B. Wegner, "Zwei Wege nach Moskau Vom Hitler-Stalin Pakt bis zum Unternehmen "Barbarossa").
(...)
25 mots sur l'"ébauche de plan" de l'OKH, c'est bien peu.
Je suis d'accord, ô combien !
Mais le problème, c'est que les "documents" en question sont des livres, de même que Lemay et l'ouvrage que lui invoque, de Dirks et Janssen (1999). Sa page de ses références sur "Otto" est d'ailleurs en ligne :
Nous avions sur ce site, en 2007, à l'occasion d'une discussion animée, convenu qu'il y avait, dans une citation russe du journal de Halder (début juin 40), une grosse inexactitude, mais n'avions pas approfondi, alors que l'un d'entre nous avait invoqué au départ le bouquin de Lemay sur Manstein. Or ce que donne à penser ce livre, c'est qu'il y a dans celui de Dirks et Janssen exploitation d'un document, ou de plusieurs, extrêmement précis sur un complot militant de l'OKH fin mai pour détourner Hitler d'ouest en est, dès l'automne 1940, une cachotterie maintenue pendant environ deux mois et une révélation brutale à un Hitler dont on nous décrit l'ébahissement, le 21 juillet, et aussi la conversion, puisqu'en dix jours il se rallie à l'idée tout en l'adaptant de deux façons : en excluant une attaque en 1940, et en renforçant les moyens qu'avait envisagés l'OKH.
Nous sommes donc à présent sur la piste d'une fabrication stalinienne d'envergure, répercutée de façon acritique par une kyrielle d'historiens à la fin du siècle, dans l'émerveillement de la découverte des archives soviétiques.
Pour avancer, il faudrait maintenant connaître plus précisément le ou les documents invoqués.
En attendant, le mobile de la manip peut déjà être supputé avec une forte probabilité : le désir d'étendre l'obsession antisoviétique de Hitler à ses officiers, au nom d'un marxisme primaire pour lequel les classes priment en tout et toujours les individus, et dans le dessein de justifier la méfiance permanente de la propagande soviétique envers les "revanchards ouest-allemands". *** / *** |