La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : Groupe de Reconnaissance - GR |
- | Les Groupes de Reconnaissance étaient le domaine de prédilection des spahis qui s'y illustrèrent par leur bravoure tout au long du conflit.
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Seconde Guerre Mondiale - SGM |
- | Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.
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GRDI - Groupe de Reconnaissance de Division d'Infanterie |
SS - Schutzstaffel - Allemagne nazie |
- | "Echelon de protection" ou "Section de protection".
Créée en 1923, la SS est d'abord la garde prétorienne de Hitler. Sous l'impulsion de Heinrich Himmler qui en prend la tête le 6 juin 1929, elle devient la police du Reich. A partir de 1937, la SS est chargée de la gestion du système concentrationnaire.
Himmler portera le titre de "Reichsfürher-SS".
A partir de 1935, la SS se subdivise en différentes branches notamment:
- SS Verfügungstruppe (troupes mises à disposition), organisées militairement et qui deviennent, au début de la guerre, les Waffen SS.
- SS Totenkopf (tête de mort) chargées de la garde des camps de concentration.
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Dans ce texte : Au sommaire du n° 50 de Francis Deleu le mardi 31 juillet 2012 à 11h01Piégé à Stalingrad - Un tankiste allemand témoigne. Le froid, la neige, la faim, la peur, l’incertitude, la pénurie de munitions, la mort rodant derrière chaque repli de terrain, le jeune tankiste Ernst Panse est piégé avec le reste de la 24. Panzer-Division dans la poche de Stalingrad en novembre 1942. Le récit haletant de ses combats dans le secteur de Kalatch-sur-le-Don nous éclaire un peu plus sur l’enfer vécu quotidiennement par les soldats encerclés de la 6. Armee.
par Yann Mahé. Le Blindorama - La Belgique, 1919 - 1945.Tout comme au sortir de la Grande Guerre vingt ans plus tôt, le Royaume de Belgique – qui n’a pas retenu les leçons du conflit – ne possède que très peu de blindés lorsque l’Allemagne passe à l’attaque le 10 mai 1940. C’est la raison pour laquelle il ne met pas au point des engins de conception nationale.
En conséquence de quoi, il produit sous licence un grand nombre de modèles étrangers.
par Alexander Thers. Les « Petits Frères » ! - L’infanterie blindée américaine.Durant la Seconde Guerre mondiale, l’Armée des États-Unis met sur pied 63 Armored Infantry Battalions, indépendants ou regroupés au sein d’une structure régimentaire. Intégrés pour la plupart dans les divisions blindées, ils y constituent le complément indispensable aux unités de chars. Un fort lien de fraternité ne tarde pas à unir les tankistes et les fantassins montés sur véhicules semi-chenillés.
par Luc Vangansbeke. Le martyre des cavaliers - Le 1er GRDI pendant la campagne de France.D’Évreux à Dunkerque, en passant par la Meuse, Haut-le-Wastia ou Cambrai, le 1er groupe de reconnaissance de division d’infanterie a tout vu : la confusion de la mobilisation, la « drôle de guerre », l’entrée en Belgique, l’offensive allemande, l’épuisante retraite et la reddition. Ce GRDI n’a pas démérité, réalisant du mieux possible toutes les missions confiées et combattant dans les situations les plus désespérées.
par Bruno Nion. « Jochen » Peiper - Un illustre inconnu ?La mâchoire carrée, le regard perçant, une silhouette athlétique, une attitude hautaine, l’impitoyable « Jochen » Peiper en impose. Déterminé, fonceur, combatif, l’officier baroudeur s’est taillé une réputation d’excellence. De son parcours au sein de la SS, la plupart des historiens n’ont retenu que ses exploits sur les champs de bataille. Pourtant, l’homme n’a pas été qu’un soldat, loin de là !
par Yannis Kadari. L’Irak et L’US Army - Les racines du bourbier.La deuxième guerre du Golfe a rapidement tourné au bourbier pour les forces de la « Coalition » menées par les Américains. Le chaos irakien, certes relatif au regard des boucheries passées, était-il prévisible ? Quels facteurs inhérents à la stratégie et au matériel l’ont-ils aggravé ? Retour sur le plus grave revers essuyé par l’« Oncle Sam » depuis le Viêtnam.
par Thomas Rabino. Chroniques africaines - Août - Septembre 1942
par Xavier Tracol.*** / *** |
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