le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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CICR - Comité International de la Croix Rouge - Divers |
- | Le site de l’institution : 
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SGM - Seconde Guerre Mondiale |
- | Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.
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Dans ce texte : Quel hommage aux délégués ? de Christian Favre le mardi 28 juin 2011 à 18h46
M-A Charguéraud termine son livre par ces quelques lignes:
[...] n'oublions jamais l'activité intense et admirable des délégués du CICR. Ces délégués sur le terrain, avec tous les risques que cela comportait, ont agi avec dévouement et efficacité partout où ils purent intervenir. Ils ont suivi la voie humanitaire tracée par Henri Dunant : Karl Kolb et Vladimir de Steiger à Bucarest, Paul Dunant à Prague, Marcel Junod, Roland Marti et Pierre Descoeudre à Berlin, Jean de Blavier, Friedrich Born et Robert Schirmer à Budapest, André Lambert à Athènes, Georges Dunand à Bratislava, Louis Haefliger à Mauthausen-Gusen, René Burkhardt à Salonique pour n'en citer que quelques-uns, auxquels il faut ajouter tous ceux qui parcoururent les routes dangereuses de la retraite allemande pour secourir les colonnes de déportés que des marches forcées inhumaines décimaient. Ce sont les mêmes qui forceront les portes des camps de concentration pour empêcher des fusillades de dernière minute.
Travailleurs humanitaires infatigables, ils se dévouèrent corps et âmes à leur tâche dans des conditions souvent extrêmes. Si leurs résultats semblent modestes par rapport à l'ampleur inimaginable de la catastrophe, ils n'en restent pas moins tout à fait exemplaires.
Combien sont-ils encore pour témoigner ? Où se trouvent les historiens,les journalistes qui se sont intéressés à ces témoignages ? Qu'a fait le CICR même pour faire découvrir aux élèves et étudiants cette activité unique pendant la SGM ? Et la radio et la TV ?
Je n'en sais strictement rien, cela a peut-être été fait et je n'ai rien vu, rien entendu et rien lu.
J'interroge *** / *** |