le Glossaire de Francis a trouvé : Combat - Résistance (France) |
- | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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- | Abréviation de "Sonder Kraftfahrzeug". Dans son acceptation la plus large "Kraftfahrzeug" désigne un engin ou un véhicule lourd tandis que "Sonder" pourrait se traduire par "spécial".
Les Sd.Kfz désignaient en fait la plupart des véhicules tels les semi-chenillés, les automitrailleuses, transports de troupes, etc....
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Seconde Guerre Mondiale - SGM |
- | Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.
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Dans ce texte : Hors série n° 7 : Véhicules de reconnaissance et de découverte des troupes de l’Axe de Francis Deleu le lundi 04 avril 2011 à 14h54Ce 7e numéro hors-série de Trucks & Tanks Magazine est entièrement dédié aux véhicules de reconnaissance et de découverte des troupes de l’Axe et de leurs alliés au cours de la Seconde Guerre mondiale.
Bien que nettement moins mises en valeur que les chars de combat par les propagandistes, les automitrailleuses à roues ou à chenilles, légères ou lourdes, sont pourtant l’une des composantes essentielles d’une offensive mécanisée réussie. Au cours du conflit, toutes les divisions blindées et motorisées comptaient au moins un bataillon ou une compagnie d’éclairage, chargés de sonder les dispositifs adverses et de rendre compte aux chefs de corps. À bord d’engins 4x4, de 6x6, 8x8 ou de véhicules chenillés rapides, ces hommes étaient les yeux et les oreilles de généraux comme Heinz Guderian ou encore Erwin Rommel. Sans eux, jamais ces stratèges de talent n’auraient pu faire la démonstration de leurs capacités à mener des opérations victorieuses contre les armées françaises, anglaises ou soviétiques. Puissants, rapides et bien armés, certains de ces engins constitueront même le cœur de groupements de combat interarmes, à l’instar des célèbres Kampfgruppen allemandes engagées en Libye et en Égypte par le « Renard du désert ».
Avec une cinquantaine de matériels, décrits à travers un historique retraçant leur genèse et mettant en exergue leurs caractéristiques techniques, vous aurez une idée fiable des capacités d’éclairage des différentes armées étudiées. Comme à l’accoutumée, des profils originaux et soigneusement réalisés, des photos de qualité et des plans détaillés signés de la main d’Hubert Cance renforcent l’aspect documentaire de la publication ; un ouvrage qui vient compléter les précédents, et qui donne corps à notre grand projet encyclopédique des matériels de la Seconde Guerre mondiale.
Des simples voitures 4x2 dérivées du secteur civil aux redoutables « chars sur roues » Sd.Kfz. 234 « Puma », en passant par la grande famille des Sd.Kfz. 221, 222, 232, etc. et autres Types 97 nippones, découvrez l’univers de la « Reco » ! *** / *** |