La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Les accords Speer-Bichelonne : un Munich économique de Nicolas Bernard le mardi 15 mars 2011 à 16h39J'ai apporté d'autres précisions sur l'emploi de la main d'oeuvre française par le Reich, et les tentatives des thuriféraires vichystes de camoufler cette réalité peu reluisante pour l'honneur hexagonal (ce serait bien d'avoir l'avis de M... pardon, de "Claire Grube" sur ce point): et et
Ce qui m'a amené à conclure:
A cet égard, je pense que les différents prélèvements effectués par Sauckel en 1942-1943 ont permis à Hitler, via Speer, de renforcer sa mainmise sur notre économie, sur notre main d'oeuvre, en laissant croire aux représentants de Vichy (en l'occurence Laval et Bichelonne, Secrétaire d'État à la Production industrielle), qu'ils espéraient préserver quelques miettes de l'essentiel alors qu'ils ne faisaient qu'accentuer la domination nazie sur la France.
Ainsi, les accords Speer-Bichelonne sont constitutifs d'une gigantesque fraude économique, un genre de Munich industriel : dans un cas, le Führer veut les Sudètes (qu'il aura) pour gober ensuite la Tchécoslovaquie (idem), dans l'autre, il veut des centaines de milliers d'ouvriers français (qu'il aura) pour s'emparer ensuite de notre économie (idem). *** / *** |
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