le Glossaire de Francis a trouvé : Combat - Résistance (France) |
- | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Seconde Guerre Mondiale - SGM |
- | Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.
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CIA - Commission italienne d'armistice - Vichy |
- | La CIA siégeait à Turin.
A ne pas confondre avec "Central Intelligence Agency" la CIA américaine.
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Dans ce texte : Un autre doc' sur Gladio/Stay Behind de René CLAUDE le jeudi 17 février 2011 à 16h07Sur le même sujet, le 2e programme de la TV suisse romande diffuse le dimanche 6 mars dans Histoire vivante:
1950-1990 : Le scandale des armées secrètes de l’OTAN, un doc' de Emmanuel Amara (France, 2011)
Extraits du texte de présentation:
Après la Seconde guerre mondiale, la CIA et le MI6 ont mis en place, dans toute l’Europe de l’Ouest, des armées secrètes destinées à être activées en cas d’invasion soviétique. Ces réseaux, dirigés par l’OTAN et souvent adossés à des groupes d’extrême droite, furent appelés stay behind. Bientôt, de chaque côté du Rideau de Fer, l’Europe s’installait dans le statu quo, et la probabilité d’une offensive soviétique devenait infime. Pourtant, les réseaux stay behind ne furent jamais démantelés. Au contraire, ils allaient user de leur force pour interférer, en temps de paix, dans les processus démocratiques nationaux. Chaque fois que la gauche menaçait d’accéder au pouvoir, le bras armé de l’OTAN pouvait intervenir.
À plusieurs reprises, cet usage de la force est allé jusqu’au terrorisme et la mort de civils innocents. Pire, dans certains cas, les forces de police et les services de sécurité ont préféré protéger les coupables afin de préserver leur capacité de combat. Grâce à ces protections, le réseau stay behind a pu jouir du secret le plus total.
Ce film propose de retracer l’histoire de ces réseaux : leur raison d’être, leur fonctionnement, mais aussi la logique qui entraîna leur dévoiement criminel et anti-démocratique. Il entend ainsi jeter une lumière nouvelle sur toute une série de meurtres, de trafics et d’exactions dont beaucoup n’ont pas été élucidés, mais qui peuvent être imputés aux armées secrètes de l’OTAN.
(...)
Le 6 mars à 20H35 sur TSR 2
Je ne l'ai pas vu mais selon les affirmations du communiqué, le réalisateur a eu accès à des éléments nouveaux ou des archives déclassifiées. Le film allemand diffusé hier par Arte butait sur l'impossibilité de prouver les liens entre les acteurs directement impliqués dans les attentats commis dans le cadre de cette stratégie de la tension. (polices, politiciens, services spéciaux, activistes d'extrême-droite, médias.)
RC *** / *** |