La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Seconde Guerre Mondiale - SGM |
- | Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.
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Dans ce texte : Ligne de Front n° 26 de Francis Deleu le mardi 02 novembre 2010 à 12h00+ Périls en Méditerranée Bombarder les puits de pétrole soviétiques de Bakou avec des appareils privés d’escorte mais décollant depuis les terrains du Levant (et survolant allégrement les cieux de Turquie), miner le Danube par voie aérienne afin d’y interrompre le trafic fluvial, couler des barges au fil des principaux cours d’eau roumains pour entraver les flux d’exportations balkaniques vers le Reich ou encore prendre le contrôle des détroits de la mer Noire [...]...Et pourtant… Si nombre de ces plans n’aboutiront jamais, certains seront étudiés dans le détail. Pour ce qui concerne l’Axe, trois objectifs retiendront l’attention des plus hautes autorités politiques et militaires : la Crète, Gibraltar et Malte. Ce sont ces trois objectifs que nous avons choisi de présenter dans le dossier décliné.
Opération « Felix » : les plans allemands contre GibraltarSi la Seconde Guerre mondiale compte de nombreuses opérations inabouties et d’innombrables projets jamais mis en oeuvre, peu déclenchent autant de débats et de fantasmes que le projet allemand de conquête de Gibraltar, position stratégique majeure tenue par les Britanniques en Méditerranée depuis 1704.
Par Cédric Mas Opération « Herkules / C3 » : Malte, l'attaque qui n'aura jamais lieuPar sa position stratégique au centre de la Méditerranée, l’île de Malte représente un objectif de première importance pour les forces de l’Axe. Pourtant, ni les Italiens, ni les Allemands n’ont tenté de conquérir cette forteresse britannique. Une « occasion manquée » ? Si l’Axe a bien conçu un plan très sérieux contre l’île, la volonté politique a toujours fait défaut et, avec elle, les moyens matériels nécessaires pour assurer la victoire.
Par Cédric Mas Opération « Merkur » : piège en Crète pour les « Diables verts »Lorsque les « Diables verts » sautent sur la Crète, le commandement allemand est certain que l’opération « Merkur » sera une surprise pour les Alliés. Pourtant, Berlin est loin d’imaginer que les Britanniques sont au courant des intentions de leurs ennemis ! En effet, Enigma, la machine électromécanique à crypter allemande, a vu ses secrets brisés par les services de renseignements alliés. De ce fait, les plans de l’Armée allemande sont parfaitement connus. Sans le savoir, les Fallschirmjäger vont tomber dans un piège. Mais les dés sont-ils jetés pour autant ?
Par Laurent Tirone + « Fukkaku » à Peleliu ! - Les Marines plongés dans l’enferAu cours de l’année 1944, les Japonais changent de tactique défensive. Là où auparavant ils se lançaient dans des charges-suicides à la baïonnette, ils vont désormais occuper le terrain en se terrant dans des fortifications inexpugnables afin d’y résister le plus longtemps possible. Cette stratégie de guerre d’attrition, c’est le « Fukkaku », dont les Américains vont expérimenter pour la première fois à Peleliu les effets à grande échelle.
Par Xavier Tracole + Stalingrad - Planifier et conduire la bataille : retour sur le rôle des états-majors allemands dans la bataille de Stalingrad« Désemparés, nous regardions fixement nos plans directeurs avec les lignes rouges épaisses et menaçantes du mouvement enveloppant, les flèches qui marquaient les avances ennemies, les percées et les axes d’attaque. Jamais nous n’aurions cru possible une catastrophe d’une telle envergure. »
(Joachim Wieder, Stalingrad ou la responsabilité du soldat, Paris, Albin Michel, 1983, p. 38
Par Guillaume Lasconjarias *** / *** |
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