le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : raté encore une fois... de 13emeDBLE le jeudi 25 février 2010 à 14h57
Pas de torpille donc en juin 1940 en Méditerranée...
Au lieu de vous retirer, vous poursuivez dans le ridicule... en vous réfugiant derrière de vos impressions idéologiquement orientées, tirées de mémoires écrites par quelqu'un qui était à Londres !
Un rappel technique préalable, une bombe a des caractéristiques, et celles nécessaires pour couler un navire devaient répondre à des spécifications très précises. Donc comme ce n'est pas à moi à pallier votre ignorance, je vous invite à chercher à répondre à une question simple : quelle bombe allemande pouvait couler (pas endommager - couler) un navire de ligne (croiseur lourd ou cuirassier) en juin 1940 ?
Quant à comparer la Crète à un assaut amphibie à travers la Méditerranée occidentale un an avant contre les flottes anglaises et françaises réunies, vous délirez totalement...
Il suffit de regarder une carte (distance à franchir en mer) et les effectifs des forces navales Alliées (rien à voir avec le Mediterranean Squadron de mai 1941).
Si on veut continuer dans vos délires anachroniques, on peut, et c'est même assez risible :
Combien de bombardiers et de missions la Luftwaffe a du utiliser pour couler les 9 unités légères Alliées (destroyers et croiseurs légers) ?
Si on extrapole pour disons les 2/3 des torpilleurs, contre-torpilleurs, destroyers, et croiseurs disponibles en Méditerranée occidentale (y compris Gibraltar) en juin 1940, nous aboutissons à.... à .... à.... (je vous laisse faire le calcul il est enfantin).
Non, décidément, parlez-moi des raisons idéologiques ou politiques de l'armistice (je le répète, l'armistice s'explique et se justifie de ce point de vue à mon humble avis), mais pas de "raisons militaires"...
La pauvreté de vos arguments vous acculent à la déconfiture sur ce plan là.
CQFD
CM *** / *** |