le Glossaire de Francis a trouvé : Combat - Résistance (France) |
- | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Wehrmacht - Allemagne nazie |
- | L'armée allemande sous le IIIe Reich. Littéralement Wehrmacht signifie "puissance (ou force) défensive". L'armée allemande prend ce nom en 1935 à la place de "Reichswehr" (voir ce terme).
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AFN - Afrique Française du Nord |
- | Territoire de l'Empire français.
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DBLE - Demi Brigade de la Légion Etrangère - France |
- | La 13e DBLE s'est illustrée de 1940 à 1945.
Voir 13e.
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Dans ce texte : Une simple remarque de Jean le lundi 21 décembre 2009 à 08h37- Où étaient les navires que la wehrmacht aurait pu utiliser pour attaquer l'AFN en juin 1940 ? ah non cette question, Jean a commencé à y répondre involontairement quand il soutient (à tort) que les français n'avaient pas de navires pour rapatrier leur armée vers l'Afrique du Nord. Il est évident que ces navires devaient donc être camouflés par les populations civiles de Sète, Marseille ou Toulon, pour les livrer ensuite à la Wehrmacht dès qu'elle en aurait eu besoin s'il avait fallu continuer vers le Sud...
On voit bien que ce que nous dit là 13ème DBLE, entre autres, n'est pas crédible.
Comment pouvait-on, en pleine débacle, regrouper en ordre et en vitesse 300.000 hommes dans les ports de la Méditerranée ?
Toutes les unités de l'armée française, non seulement étaient éparpillées sur tous les fronts, mais elles s'y battaient avec acharnement ! Déjà cela posait un énorme problème !
Imaginez les compagnies, les bataillons, les régiments, rompant brusquement le contact et allant prendre dans l'ordre le premier train à destination de Port-Vendres, de Sète ou de Marseille ! Elles auraient eu immédiatement sur le dos les Allemands qui les auraient taillés en pièces, car il ne s'agissait pas d'une retraite tactique, stratégique, mais d'une fuite vers la Méditrerranée !
Les bateaux ? Citez moi ceux qui auraient pu transporter sans aucun risque, ces 300.000 hommmes en 48 heures de l'autre côté de la mer ! Et je prend le chiffre de 300.000 hommes comme minima pour une "Armée" capable de "poursuivre le combat en AFN"
Je suis franchement désolé, "13ème DBLE", mais je possède quelques notions "techniques" dans ce domaine, et j'ai lu "Les soixante jours..." de Benoist Méchin, qui me permettent d'argumenter sans utiliser des "documents tronqués ou de seconde main". Vous le remarquerez, je n'ai pas besoin, moi, de chercher une semaine dans ma bibliothèque, mais si vous y tenez... *** / *** |