La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Zone - Résistance (France) |
- | En zone Nord occupée, les régions étaient désignées par les lettres:
P : région de Paris.
A : région d'Amiens.
B : région de Bordeaux.
C : région de Châlons-sur-Marne.
D : région de Dijon.
M : Région de Le Mans.
En zone Sud, les régions étaient désignées par la lettre R suivie de 1 à 6.
(voir "R")
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Dans ce texte : Au-to-ma-ti-que-ment avant le 2 août 42 mais pas après. de Boisbouvier le samedi 12 décembre 2009 à 09h42 Cette police qui se sentait soutenue par l'Etat traina la jambe
- ai-je dit
Impossible, la police obéit au-to-ma-ti-que-ment au pouvoir légitime, c'est à dire aux Allemands.
-m'a-t-il été répondu.
A quoi, je réponds à mon tour :
N'ai-je pas suffisamment dit que tout l'art d'un Laval et d'un Bousquet consista à récupérer l'autorité du gouvernement français sur la police de la zone occupée ?
Cette autorité que la défaite et la convention d'armistice leur avaient fait perdre, grâce à d'habiles négociations qui eurent lieu le 7 mai 42 entre Bousquet et Heydrich, et les deux juillet et 2 août 42, entre Bousquet et Oberg-Knochen, cette autorité, donc, leur fut rendue et ils en firent l'usage le meilleur qu'ils purent sans toutefois parvenir à tout refuser.
Lors de la négociation du 2 juillet 42 quand Bousquet entendit Knochen lui dire : "Ne craignez vous pas d'irriter notre Führer ?" il sentit qu'il fallait relâcher la tension tendue à l'extrême et il consentit aux déportations des Juifs étrangers des deux zones qui eurent lieu en juillet et août 42.
C'est cet ensemble de faits diplomatiques qui est l'explication "du sort relativement plus clément..."
Il permit à Laval de refuser les autres nombreuses demandes des Allemands concernant les Juifs de France sans pouvoir évidemment empêcher ceux-ci de rafler par eux-mêmes. *** / *** |
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