le Glossaire de Francis a trouvé :
Combat - Résistance (France) |
| - | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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Panzer Korps - PZK - Allemagne nazie |
| - | Corps blindé. Cette dénomination, bien souvent mentionnée à tort dans les écrits concernant les combats de 1940, n'est apparue qu'en Russie, en octobre 1941. Auparavant, les corps blindés portaient la dénomination de Armee Korps (motorisiert) : AK (mot.)
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| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Seconde Guerre Mondiale - SGM |
| - | Les anglo-saxons écriront WW2 ou WWII pour World Ware Two. Bon à savoir pour une recherche utile sur le Web.
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Wehrmacht - Allemagne nazie |
| - | L'armée allemande sous le IIIe Reich. Littéralement Wehrmacht signifie "puissance (ou force) défensive". L'armée allemande prend ce nom en 1935 à la place de "Reichswehr" (voir ce terme).
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SS - Schutzstaffel - Allemagne nazie |
| - | "Echelon de protection" ou "Section de protection".
Créée en 1923, la SS est d'abord la garde prétorienne de Hitler. Sous l'impulsion de Heinrich Himmler qui en prend la tête le 6 juin 1929, elle devient la police du Reich. A partir de 1937, la SS est chargée de la gestion du système concentrationnaire.
Himmler portera le titre de "Reichsfürher-SS".
A partir de 1935, la SS se subdivise en différentes branches notamment:
- SS Verfügungstruppe (troupes mises à disposition), organisées militairement et qui deviennent, au début de la guerre, les Waffen SS.
- SS Totenkopf (tête de mort) chargées de la garde des camps de concentration.
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Dans ce texte : Hors-Série N°10 - Koursk - Tome 2 : Prokhorovka & Pince nord de Francis Deleu le mardi 14 avril 2009 à 14h01
Depuis lors, placées en fer de lance de la pince Sud et parties de la région de Bielgorod, les Panzer-Divisionen du Generalfeldmarschall Manstein, dont celles du II. SS-Panzer-Korps, malmènent les unités du Front de Voronej. Un à un, elles engagent puis écrasent les corps blindés soviétiques, s’enfonçant toujours plus loin au coeur du dispositif ennemi, sans toutefois parvenir à en percer toutes les lignes de défense. Les 12 et 13 juillet, tout semble devoir se jouer à Prokhorovka où va se dérouler une bataille – aussi décisive qu’elle n’est devenue mythique – opposant Panzerschützen et Panzer-Grenadiere du II. SS-Panzer-Korps aux tankistes de la 5e Armée blindée de la Garde soviétique. Les corps d’élite du Führer et ceux du Vojd vont ainsi se livrer à un combat sans merci car la décision, du côté de la Wehrmacht, ne peut plus être emportée qu’ici. En effet, au nord du saillant de Koursk, dans la région d’Orel, l’offensive du Generaloberst Walter Model a tourné court, ce malgré l’engagement de nouveaux matériels tels que des « Ferdinand » et des Sturmpanzer IV. Après avoir enfoncé la première ligne du Front du Centre de Rokossovki, la 9. Armee est irrémédiablement stoppée devant les bourgs de Ponyri et d’Olkhovatka. Toute avance est désormais impossible. Pis encore, le 12 juillet, l’opération « Koutouzov », déclenchée par l’Armée rouge au nord des positions de la 9. Armee, menace de prendre à revers les troupes de Model et de les encercler.
L’opération « Zitadelle » au nord du saillant de Koursk est bien plus que compromise... Le salut allemand ne peut donc plus venir que de la pince Sud, où Manstein espère encore pouvoir remporter une victoire éclatante à Prokhorovka. Dès lors, le combat qui s’engage sera décisif pour la suite de la guerre à l’Est. Landser et Frontoviki le savent.
À travers ses recherches en archives et ses travaux, Jean Restayn, historien militaire et illustrateur, nous plonge au coeur de l’une des batailles parmi les plus acharnées, les plus épiques et les plus cruciales de toute la Seconde Guerre mondiale ! Une bataille durant laquelle chars et équipages tiendront le premier rôle au fil des 130 pages de ce nouveau Hors-Série de « Batailles & Blindés » abondamment illustré de profils d’engins et de photos souvent inédites. Ne manquez pas l’occasion d’embarquer à bord des Panzer de la « Leibstandarte » et des T-34/76 de la 5e Armée blindée de la Garde !
Au sommaire
Prokhorovka Jour 9 : 12 juillet 1943
Témoignages : Prokhorovka vue par les hommes de la 6./SS-Panzer-Regiment 1 de la SS-Panzer-Grenadier-Division « Leibstandarte Adolf Hitler SS »
Jour 10 : 13 juillet 1943
Témoignage : le SS-Panzer-Regiment 2 « Das Reich »
dans la tourmente de Kursk Pince NordLe calme Avant la tempête
Reportage : la 20. Panzer-Division
Jour 1 : 5 juillet 1943
Jour 2 : 6 juillet 1943
L'artillerie soviétique
Jour 3 : 7 juillet 1943
Jour 4 : 8 juillet 1943
Témoignages : la bataille de Teploïe vue par les hommes de la 4. Panzer-Division
Jour 5 : 9 juillet 1943
Témoignage : la Sturmartillerie contre-attaque !
Jour 6 : 10 juillet 1943
Jour 7 : 11 juillet 1943
Jour 8 : 12 juillet 1943
Jour 9 : 13 juillet 1943 Conclusion.
L'ensemble du HS est signé Jean Restayn, avec la participation de Yann Mahé et Laurent Tirone*** / *** |
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