le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Wehrmacht - Allemagne nazie |
- | L'armée allemande sous le IIIe Reich. Littéralement Wehrmacht signifie "puissance (ou force) défensive". L'armée allemande prend ce nom en 1935 à la place de "Reichswehr" (voir ce terme).
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Dans ce texte : Quelle derive ! de Auteur anonymé le jeudi 09 octobre 2008 à 13h06Pfff... C'est à desespérer. Je n'ai pas parlé des crimes du communisme mais des pratiques des troupes soviétiques qui expliquent, pour partie, la tournure prise par la guerre à l'Est.
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La tournure prise par la guerre d'agression a l'Est s'explique exclusivement par la violence integrale generee des le debut par l'agresseur, a savoir la Whermacht en voie tres avancee de nazification. L'Armee Rouge, apres s'en etre pris plein la poire au debut, s'est adaptee aux conditions de guerre imposee par les nazis. Tenter de dire que si le front de l'Est a ete ce qu'il a ete c'est a cause de ces sales bolchos est historiquement une heresie et moralement une negation de la realite du nazisme.
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Encore une fois, il vous faudra plus que des "exemples factuels et incontestables", mêmes nombreux, pour affirmer que CHAQUE Landser savait.
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Et il vous faut quoi, Ollivier, pour enfin reconnaitre cette evidence demontree de fond en comble par une brochette d'historiens prestigieux dont je ne vous referais pas la liste ?
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Vous ne pouvez pas sérieusement mettre sur le même plan ce qui s'est passé en Pologne et, ensuite, en URSS. Enfin si, vous pouvez si ça vous dit...
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Pas si ca lui dit, mais s'il lit correctement, ce qu'il fait. La Pologne, c'est l'antichambre du Front de l'Est ou Hitler met en branle les Einsatzgruppen dont Francois Delpla dira qu'ils furent "l'instrument des nazis pour achever de damner la Wehrmacht tout en mettant le judeocide sur orbite".
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J'ai écrit : "Lorsque les Allemands entrent en Ukraine, il leur faut parfois modérer les ardeurs épuratrices des Ukrainiens à l'égard de la population juive..."
"Quelquefois, la férocité des collaborateurs locaux effraie jusqu’aux cadres des Einsatzgruppen eux-mêmes. C’est le cas, en particulier, des membres de l’Einsatzkommando 6 (de l’Einsatzgruppe C), « littéralement épouvantés par la soif de sang » » que manifeste un groupe d’« Allemands ethniques » ukrainiens". Raul Hilberg, La Destruction des Juifs d'Europe, tome I, p. 553/563.
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En Ukraine ! Avec tout le respect que j'ai pour feu M. Hilberg, je bondis.
"A Zloczow, le Sonderkommando 4b de l' Einsatzgruppe C «se contente d'un rôle relativement passif consistant à encourager les Ukrainiens », ceux-ci «n'ayant aucunement besoin d'être aiguillonnés. »
Cela fonctionne parfaitement : «la plupart des Juifs qui ont péri à Brzezany ce jour-là ont été assassinés à coup de manches à balai sur lesquels on avait fixé des clous. Il y avait des rangées de bandits ukrainiens, armés de gros bâtons. Ils ont forcé ces gens, les Juifs, à passer entre les deux rangées et les ont massacrés de sang-froid avec ces bâtons. »
Saul Friedländer, «L'Allemagne nazie et les Juifs, 1939-1945 », Paris, Seuil, 2008, p.282
Vous voulez en venir ou, exactemeet, Ollivier ? *** / *** |