le Glossaire de Francis a trouvé : Sir (Basil Lidell Hart) - Grande-Bretagne |
- | Comme pour le Général Patton, je m'étonne de ne pas trouver mot sur ce grand écrivain, spécialiste des guerres mondiales.
Note : Le glossaire est en chantier permanent ! N'hésitez pas à participer et à déposer vos définitions ou courtes biographies.
FD
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Dans ce texte : le forum en guerre de francavia le jeudi 03 juillet 2008 à 15h34Bonjour Monsieur Jacques Ghémard,
Vous avez toute ma sympathie dans votre défense du Dr Georges Laroche. Vous avez tout dit de sain et d'intelligent dans cette navrante affaire qui n'est, hélas, pas la première du genre sur ce site parfois, souvent même, ubuesque.
Mais je voudrais ajouter que pour moi, ce n'est pas une tempête dans un verre d'eau comme l'a dit un de vos correspondants, mais d'une véritable insulte lancée à l'encontre de l'intégrité d'un homme qui ne pensait sûrement pas à mal (si mal il y avait) et dont l'âge et le cursus mériteraient un plus grand respect.
Je voudrais dire au dénommé Prosper que son attitude est exactement celle de ceux qu'il prétend détester, que pour moi elle mérite le même mépris et que même s'il s'en défend je n'éprouve pas plus de sympathie pour son geste que pour celui du censeur qui interceptait les lettres de mon père à ma mère pendant la guerre pour les noircir à l'envie. S'il ne veut pas d'outrance dans les amalgames, il n'a qu'à se comporter autrement.
Quant à l'individu qui ose écrire que son père combattait sur des théâtres autrement plus "prestigieux" que sur les bords de la Loire alors là je crois que nous touchons le fond. Ainsi il y aurait des lieux plus prestigieux que d'autres pour combattre le nazisme ? J'estime - et je ne suis pas le seul - qu'il devait être combattu partout où il pouvait l'être et que des héros et des couards, il y en eut partout y compris dans les lieux prestigieux.
Vous prétendez honorer la mémoire des anciens mais, sans raison sensée, vous attaquez l'intégrité, la gentillesse et la courtoisie d'un homme qui a vécu ces moments pénibles, qui éprouve le désir d'en faire part pour entretenir le de voir de mémoire. Et au nom de quoi, Mon Dieu... d'une quelconque propriété intellectuelle émanant d'esprits ubuesques. De plus les pseudo-auteurs contactés avouent n'avoir pas même débuté leurs travaux. Il me semble en outre que de tels événements tragiques appartiennent à tous et non à quelques "happy few".
Merci Monsieur Ghémard, enfin quelqu'un de sensé ici. *** / *** |