 La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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PC - Poste de Commandement |
- | ndlr : il arrive que le lecteur distrait confonde PC et PC. Exemple: "Giraud quitte son PC" ne veut pas dire "quitte son Personal Computer", ni "quitte son Parti Communiste" mais tout bêtement "quitte son Poste de Commandement".
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Dans ce texte : Non, vous ne rêvez pas... de Auteur anonymé le dimanche 22 juin 2008 à 14h46
...et ce que vous prenez pour du "culot" n'est que la manifestation d'une certaine incompréhension.
L'influence communiste dans le domaine des arts et des lettres et l'exercice ou le non-exercice de responsabilités gouvernementales par le PC sont deux choses très différentes. Le PC a toujours eu une influence idéologique bien supérieure à ses performances électorales. Je m'étonne que vous fassiez la confusion.
L'apogée de la domination intellectuelle communiste se situe sans doute dans la décennie suivant la Libération. Elle déclinera très lentement par la suite et si une "cassure" se produit c'est en 1956 avec les événements de Budapest qui éloignent du stalinisme (mais pas du communisme) certains intellectuels et non en 1958.
La déroute idéologique n'arrive que très tardivement, fin des années 70 début des années 80. Mais elle est loin d'être totale puisqu'aujourd'hui encore, le communisme continue de faire l'objet d'une certaine complaisance. Si tout le monde (ou presque) est d'accord pour considérer Staline, Ceaucescu ou Pol Pot comme des criminels (qui ont trahi les généreux idéaux de la révolution), des personnages aussi sanguinaires que Lénine, Trotsky ou Guevara sont jugés avec une certaine bienveillance. De même, les historiens qui se risquent à porter un regard critique sur des sujets comme l'attitude du PC pendant l'Occupation font-ils l'objet de critiques acerbes qui rappellent les grandes heures de cette période où le grand homme pouvait dire très tranquillement : "Tout anticommuniste est un chien". *** / *** |
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