le Glossaire de Francis a trouvé : Combat - Résistance (France) |
- | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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Gaulle (Charles de) - CDG - France libre |
- | A hissé le grade de Connétable bien au dessus de celui de Maréchal, fut il de France. Le site officiel
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : quant au char B1 de arcole le lundi 05 mai 2008 à 11h04Quant au char lourd Renault B1 et B1 bis, il ne faut pas en faire la panacée des divisions blindées françaises qui n'ont pas existé. C'était un monstre lent et lourd, à faible autonomie, et armement complètement inadapté pour les combats de chars. Canon de 37 en tourelle, infiniment trop faible pour menacer un Panzer IV, et un canon de 75 fixe, sous casemate, tellement surbaissé que pour pouvoir l'utiliser, l'équipage du B1 devait se percher sur une éminence surélevée, d'où il devenait une cible de choix. De plus, ce 75 ne tirait que de la grenaille à schrapnells, redoutable contre l'infanterie, mais tout à fait inadéquate au combat de chars. Le B1 n'a jamais été un Schturmgeschutz.
La plupart des B1 ont été capturés, réservoirs vides.
Si Pétain n'avait que cette arme à préconiser, c'est la preuve évidente qu'il n'était pas sorti du concept du "char accompagnement d'infanterie" de 1918.
S'il avait vraiment eu le génie de la guerre éclair dans sa doctrine, il n'aurait certainement pas préconisé le char lourd Renault.
Votre habile démonstration ne résiste pas à l'examen détaillé des faits et des matériels.
De Gaulle, qui avait une vision plus active de l'armée française, accordait plutôt sa préférence au Somua S.35, plus léger, mais rapide, quoique encore trop faiblement armé pour les combats de chars. Celui là au moins, pouvait être regroupé dans une division blindée. Les Allemands, fins connaisseurs, ont toujours préféré réutiliser des S.35 que des B1.
Mais il n'en reste pas moins qu'il n'a pas existé de char lourd français, équivalent au Panzer IV (ou au T.34 russe).
Dans le domaine aérien, le génial Pétain n'a jamais oeuvré pour faire construire en série le Loire Nieuport 40, qui aurait pu être le Stuka français.
Que voilà un ministre de la guerre improductif! *** / *** |