le Glossaire de Francis a trouvé : Combat - Résistance (France) |
- | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Vallon (Louis) - Résistance (France) |
- | Chef de la section NM (Non Militaire) du BCRA (Bureau Central de Renseignements et d'Action).
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Zone - Résistance (France) |
- | En zone Nord occupée, les régions étaient désignées par les lettres:
P : région de Paris.
A : région d'Amiens.
B : région de Bordeaux.
C : région de Châlons-sur-Marne.
D : région de Dijon.
M : Région de Le Mans.
En zone Sud, les régions étaient désignées par la lettre R suivie de 1 à 6.
(voir "R")
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Dans ce texte : dubitatif de arcole le samedi 03 mai 2008 à 15h17Permettez moi de ne pas spécialement abonder dans votre sens, sur le rôle éminent qu'aurait joué la marine française. Les Anglais n'ont pas eu à tirer "la couverture à eux", ils étaient déjà bien couverts.
Avez vous remarqué que pour donner des noms à nos glorieux navires, on n'a jamais pu utiliser le nom d'une seule grande victoire navale? On utilise des noms de gloires "terriennes", Clémenceau, Richelieu, ou de celles de trés modestes guerilleros des mers (Surcouf, Jean Bart). Jamais la victoire n'illumina nos escadres, en exclusivité. Nos amiraux n'ont jamais su être que des mous indécis, ou des intrigants de ministères.
Détail lamentable, nous en sommes encore à reprocher aux Anglais de ne pas avoir évacué la totalité des assiégés de Dunkerque, alors que nous avions, nous une marine, infiniment plus nombreuse et plus proche dans ses ports. Au moment où les britanniques, pour sauver leur corps expéditionnaire, envoyaient jusqu'aux bateaux de plaisance sous les bombes des Stukas, nous gardions, nous, nos précieux bateaux au repos, de la Normandie au Golfe de Gascogne.
Le fait d'avoir une flotte puissante ne trouvait sa justification que si la guerre avait été poursuivie dans tout l'Empire. Dés lors que des "dirigeants de rencontre" considéraient la partie comme perdue avec l'invasion de la métropole, l'existence même de la flotte ne se justifiait plus guère.
J'ajouterai que l'efficacité même de nos vaisseaux sous le brillant commandement des vaniteuses badernes étoilées, n'a jamais démontré une bien grande efficacité.
Au bombardement de Gênes, en juin 1940, la flotte française s'est tout simplement trompée de zone, et au lieu de bombarder un vallon industriel de Gênes, elle a pilonné le vallon voisin, uniquememnt peuplé d'habitations.
Plus récemment encore, au tout dernier combat au canon, livré par la marine française,(1956) le Kersaint a tiré 53 obus sur l'Ibrahim el Awal... sans aucun coup au but.
On est loin de la volée du Bismarck, fatale au Hood, dés le premier tir! *** / *** |