le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : c'est de motivation qu'il est question de arcole le samedi 12 avril 2008 à 11h29Permettez moi d'apporter un point de vue peut être différent. Sans contester le vif intérêt accordé aux sujets allemands, on ne peut que le déplorer, quand il s'agit d'auteurs français, s'adressant à un lectorat français. D'où vient cette malsaine germanolatrie? 68 ans aprés 1940, on ne peut plus parler de kollaborationnisme, seulement d'une morbide attirance.
La recherche historique a bon dos, qui néglige superbement toutes les autres forces belligérantes de ce conflit; conflit que, en définitive, les agresseurs ont perdu.
Moi, ce qui me surprend, c'est cette fidélité à une mentalité de vaincus. A ma connaissance, les Allemands ne vouent pas un culte aux aviations américaine ou soviétique.
Non, il n'y a que nous! Mais on ne va pas tondre les historiens pour vouloir coucher avec l'Allemagne. De toute façon, ils sont presque tous chauves, dégarnis du tabouret!
Jamais, dans l'histoire des conflits humains, un peuple n'aura manifesté une si persistante admiration rétrospective pour son ennemi vainqueur, envahisseur, et occupant.
Mais bon, je le dis, parce que c'est mon droit de le dire.
A part ça, c'est vous qui voyez... *** / *** |