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Le Service de renseignements suisse face à la menace allemande, 1939-1945 - Christian Rossé
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")


SR - Service de Renseignements - France libre
-

Créé et dirigé par le colonel Passy, le SR deviendra le BCRAM (Bureau Central de Renseignements et d'Action Militaire), précurseur du BCRA.


SR - Parti socialiste révolutionnaire - Union soviétique
-

Parti socialiste révolutionnaire. Créé en 1902, le Parti socialiste révolutionnaire se réclame des traditions populistes du mouvement révolutionnaire russe. Plus proche du monde paysan que du monde ouvrier, le SR entrera en conflit avec le parti de Lénine.

Dans ce texte :

Une introuvable neutralité: Masson, un censeur ? de René CLAUDE le lundi 03 mars 2008 à 13h55

Il est difficile de trouver les éléments pour tracer un portrait psychologique réaliste du colonel Masson. Selon les historiens, Masson fut un censeur, un farouche anticommuniste trop bienveillant à l'encontre des nazis en Suisse qui fut piégé dans sa relation à sens unique avec Schellenberg. Ou alors, c'est le portrait d'un chef de SR trop discrètement pro-alliés qui passa par-dessus les politiques pour entretenir sa ligne secrète avec le redoutable Schellenberg et finit en fusible pour épargner Guisan. Dans les pages de son étude La Suisse des années sombres (Payot, 1989) consacrées au rôle du col. Masson, André Lasserre insiste sur son action de censeur de la presse. A la page 81, il écrit : Le colonel Masson réclama la censure préalable, persuadé qu'il fallait à tout prix museler les journalistes pour que les soldats n'aient pas à payer de leur vie les intempérances de langage de plumitifs qui auraient provoqué la rétorsion allemande. Dans sa liaison à haut risque avec Schellenberg, on sait que Masson s'engagea à faire cesser les supposés excès éditoriaux antinazis/antiallemands de journalistes et de rédacteurs (suisses alémaniques surtout) contre la promesse du collaborateur de Himmler de calmer ses propagandistes nazis en Suisse, ce qui se passa effectivement un temps.
Mais tout cela ne nous dit pas qui fut le colonel Roger Masson, je veux dire humainement, sur le plan des relations avec ses subordonnés, avec Guisan, Barbey, les patrons et rédacteurs en chef de journaux ? Je trouve qu'on nous le dépeint souvent comme fait tout d'un bloc...

RC

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Consulter ou enrichir le Glossaire de Francis



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