le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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QG - Quartier Général - Divers |
- | Plus petit que Grand Quartier Général... forcément.
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Dans ce texte : Et les marmottes... de Nicolas Bernard le jeudi 24 janvier 2008 à 18h15> Il s'agit du compte rendu, cursif et abrégé, d'une
> conversation de quatre heures avec DES jurés et nullement
> du point de vue DU jury.
Oh, mais c'est qu'il chipote ! C'est qu'il joue avec les mots ! C'est qu'il ferait presque croire que son jury de thèse ne lui a reproché aucun défaut ! ;-)
L'énonciation du reproche s'inscrivait dans le cadre de la discussion de la thèse, et non une simple "conversation". La discussion est une épreuve systématique de la soutenance succédant à l'exposé, menée avec le jury, lequel formule ses commentaires et amène le doctorant à les discuter. L'un des membres du jury vous a formulé ce reproche, parfaitement vérifié, au cours de cette phase de la soutenance, et n'a certainement pas été contesté par les autres membres dudit jury. Et pour cause...
> Si j'avais su qu'il serait mis à
> toutes les sauces par une personne en position difficile
> dans les débats,
Il n'est de pire aveugle que celui qui ne veut rien voir... :-)
> je me serais peut-être abstenu.
Merci pour cet aveu révélateur.
> Mais si
> peu le font que je ne regrette rien.
Mmm... Je n'en suis, pour ma part, pas si sûr... ;-)
> Et si tu arrêtais de me prêter, tout à fait à tort en
> l'occurrence, une théorie du complot et argumentais sur
> ce qui est dit ?
Ma réaction : :-D
J'ai déjà démontré que votre "thèse" du meurtre de Himmler ne reposait sur rien. Vous n'avez pas produit le plus petit atome d'ombre de commencement de preuve à l'appui de celle-ci.
Alors que tout milite en faveur du suicide (mais il est vrai que vous relisez les faits à votre manière), vous nous demandez en effet de croire, à partir de faux documents (!), qu'un agent britannique surgi de nulle part, travaillant pour un organisme parfaitement incompétent en matière de meurtre politique, aurait reçu l'ordre de supprimer Himmler et qu'il y procède d'une manière particulièrement farfelue : en l'accompagnant en voiture entre le camp de regroupement du capitaine Selvester et le Q.G. de la 2ème armée britannique à Lüneburg, dans la soirée du 23 mai 1945, et en persuadant en un temps record cet expert des techniques d'intimidation qu'il doit mettre fin à ses jours le plus rapidement possible, tout en ayant la générosité de lui remettre une capsule de cyanure également surgie de nulle part. Et Himmler, lui, ne se suicide pas en voiture. Non, il attend tranquillement à Lüneburg qu'on pratique sur lui une fouille de sa mâchoire - aucun témoin ne remarque rien d'anormal jusque là, alors que vous ne pouvez nier, cette fois, que Himmler a le poison en bouche - et se suicide docilement.
Navré, mais je ne mange pas de ce pain là. *** / *** |