le Glossaire de Francis a trouvé :
Ligne Siegfried - Allemagne |
| - | Ligne de fortifications allemandes comparable à la ligne Maginot, la "ligne Siegfried" et plus exactement le "Westwall" pour les Allemands, s'étendait de Bâle au sud à Clèves au nord.
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| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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GB - Groupe de bombardement - France 1940 |
Dans ce texte : à la bonne heure ! de françois delpla le lundi 21 janvier 2008 à 13h40
tout arrive, nous avançons !
je me fais une réflexion, en liaison avec les découvertes de l'équipe du père Desbois en Ukraine : à part Katyn, quels charniers ont été fouillé sur le territoire ex-soviétique, et quand ?
A Katyn (sauf erreur, je cause de mémoire), il n'y a que des officiers, tous tués de la même façon, vraisemblablement en un temps bref. La fouille, et les quelques témoignages, s'emboîtent parfaitement au document du 5 mars. Mais ailleurs ? chronologie exacte ? qualité des victimes (seulement des officiers ou également d'autres types de "bourgeois", comme dans le texte de 1959 qui est un fourre-tout ?). Bref, sait-on exactement combien de victimes l'ordre du 5 a engendrées et dans quel délai ?
L'honneur de la France en 1939 ? Je veux bien qu'on le mette en cause, mais je suis pour ma part plus sensible à la cécité générale devant le jeu hitlérien. Le problème, c'est que tout le monde croit plus ou moins, vers le 20 août, que Hitler n'osera pas, ni Staline. Que ni l'un ni l'autre n'oseront signer un pacte, que Hitler n'osera pas prendre le risque d'agresser totalement la Pologne pour se retrouver en guerre avec la France et la GB, et que Staline n'osera pas occuper une part de la Pologne, une fois celle-ci mal en point... et là nous retrouvons les illusions de Beck décrites par Anders. Mais Hitler, lui, mène le jeu et croit tout cela. Il spécule en outre que ni la France ni l'Angleterre ne lui livreront une guerre sérieuse (pour cela il compte sur le fait qu'ayant obtenu tous ses succès sans guerre, contre de petits pays et à l'aide d'un discours anticommuniste sans faille, il est "fou" de sacrifier d'un coup et l'atout de son "pacifisme", et celui de son antisoviétisme).
C'est pas vrai, ça, pense le bon peuple un peu partout, les catholiques allemands vont se réveiller, les généraux vont le virer, les patrons vont craindre trop pour leurs profits, l'Allemagne est au bord de l'implosion et du coup d'Etat, à quoi bon prendre des risques sur la ligne Siegfried ?
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