le Glossaire de Francis a trouvé : - | Lors de l'offensive des Ardennes en décembre 1944, deux missions de commandos furent planifiées et reçurent les noms de code "opération Autour" (Stösser) et "opération Griffon" (Greif).
L'opération Autour, confiée au lieutenant-colonel von der Heydte, était destinée à faire sauter des parachutistes sur les Hautes-Fagnes avec l'objectif de prendre le contrôle des ponts et carrefours sur les routes des Ardennes.
|
- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
|
Dans ce texte : Moi = Croquemitaine ? de Nicolas Bernard le dimanche 09 décembre 2007 à 18h58
> Or en l'occurrence, je crois juste voir une "querelle de
> généraux" autour d'une momie. Difficile de se sentir
> concerné par cet aspect de l'histoire.
Oui, oui, je sais, je suis le méchant Bernard qui veut à tout prix assouvir son implacable rancune envers Delpla...
S'il est vrai que ce personnage ne m'inspire aucune sympathie, je n'en ai pas sombré pour autant dans le harcèlement à son égard. Ma contestation se limite, sur le fond, aux nombreuses sottises historiques qu'il profère, et sur la forme à sa manière de débattre (dont bien des lecteurs et contributeurs ont su apprécier la valeur).
Le problème est que, sans me vanter, je fais partie des rares à posséder le bagage documentaire suffisant pour contredire ses théories les plus abracadrantes, ce qui aboutit à une certaine "solitude" de ma part, puisque mes réfutations ne s'accompagnent pas toujours de compléments issus d'autres contributeurs. D'où une apparence de duel personnel entre lui et moi, renforcée par mon agacement continuel devant ses procédés "discursifs".
En vérité, cette solitude est bien relative, et je n'ai jamais vu une contestation argumentée des inepties delplaïques finir autrement que les miennes. Par ailleurs, mon ton n'est pas plus aimable à l'égard d'autres contributeurs qui sombrent, plutôt sciemment d'ailleurs, dans le n'importe quoi, qu'il s'agisse de Baynac pour le plus notoire, ou d'apprentis-négationnistes pour les plus minables.
Bref, loin de correspondre à une "querelle de généraux", mes réfutations des thèses delplaïques ne se veulent rien d'autre que des réfutations. Ce sont les difficultés qu'éprouve Delpla à se remettre en cause dans un débat (cite-moi un message, un seul, où il reconnaît s'être trompé ou s'excuse d'avoir accusé à tort), à l'origine d'une indéniable mauvaise foi de sa part, qui en définitive plombent les fils où il a l'occasion d'intervenir.
> Par contre, je suis toute ouïe sur le génocide en Ukraine.
Je fournis tous les élémets de réflexion ici. *** / *** |