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La terreur et le désarroi - Staline et son système - Nicolas Werth
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Aubrac (Lucie) - Résistance (France)
-

(1912- ) née Lucie Bernard.
Lucie Aubrac contribue avec son mari Raymond Aubrac à créer le mouvement "Libération-Sud". Le 21 octobre 1943, à la tête d'un groupe franc, elle libère son mari tombé, le 21 juin auparavant, entre les mains de la Gestapo lors de la réunion de Caluire.


Aubrac (Raymond) - Résistance (France)
-

(1914- ). Raymond Aubrac, de sensibilité proche des communistes, entre très tôt dans la résistance aux côtés d'Emmanuel d'Astier de la Vigerie avec lequel il participe, en région lyonnaise, à la création du mouvement "Libération-Sud" dont il devient le chef de la branche paramilitaire.
Arrêté le 21 juin 1943 à Caluire, avec Jean Moulin notamment, il sera libéré le 21 octobre suivant par un groupe franc dirigé par sa femme Lucie. A Alger, membre de l'Assemblée consultative provisoire, il est nommé par le général de Gaulle, commissaire de la République pour la région de Marseille (1944-1945) où il est, entre autres, chargé de l'épuration.
Il s'oppose à la guerre d'Indochine et participe aux négociations secrètes avec Hô-Chi-Minh.


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")

Dans ce texte :

Remarques intéressantes de Nicolas Bernard le dimanche 09 décembre 2007 à 13h27

Je ne sais pas s'il faut "susciter la sympathie". Pourquoi pas ? Je n'ai certes pas l'habitude de faire dans l'émotionnel, qui suppose une certaine hypocrisie. Je m'efforce de rester dans le factuel, afin d'éviter de prendre mes lecteurs/auditeurs pour des imbéciles.

En ce qui me concerne, mon hostilité envers Annie Lacroix-Riz ne résulte pas de sa manière d'être, mais de ce qu'elle écrit, et de ce qu'elle diffuse à ses étudiants. De mémoire, je n'ai jamais jugé une argumentation sur l'aura de sympathie potentiellement dégagée par son auteur. Ce serait en effet ouvrir la voie à la démagogie.

Je ne vois pas, enfin, à quel j'interdirais toute humanité aux historiens, humains donc imparfaits par définition. Cela étant posé, si ce métier a été encadré par des règles de déontologie et de méthodologie, c'est bien évidemment pour éviter de sinistres dérives et prévenir toute désinformation dont se nourrissent les régimes autoritaires. Je ne vois pas en quoi l'"humanité" constituerait, dans l'hypothèse, une excuse. L'historien, comme tout individu, doit assumer la responsabilité de ses actes. Viendrait-il à s'éloigner de son obligation d'honnêteté intellectuelle et de rigueur au nom d'impératifs politiciens qu'il ne serait pas digne du poste qu'il occupe.

Le soutien qu'apporte Delpla à une de ces négationnistes (stalinienne celle-là) me pose problème, à tous points de vue (motivation, objet, méthodes). Pour ne rien te cacher, je trouve un tel appui proprement scandaleux, aussi malsain que celui apporté par quantité d'historiens français à des négateurs du génocide arménien condamnés en justice dans les années 90, sous prétexte de liberté d'expression, sans parler du rôle joué par d'autres historiens vis-à-vis des accusations diffamatoires proférées par un "spécialiste" à l'encontre des Résistants Aubrac en 1997.

J'estime qu'on ne doit pas piétiner l'Histoire impunément, a fortiori si l'on cherche à réhabiliter des idéologies mortifères (national-socialisme ou stalinisme). Quitte cette fois à faire dans l'émotionnel, peut-être devrait-on demander aux Ukrainiens ce qu'ils pensent de la négation de cette famine qui a décimé leurs grands-parents ?

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