le Glossaire de Francis a trouvé : - | Lors de l'offensive des Ardennes en décembre 1944, deux missions de commandos furent planifiées et reçurent les noms de code "opération Autour" (Stösser) et "opération Griffon" (Greif).
L'opération Autour, confiée au lieutenant-colonel von der Heydte, était destinée à faire sauter des parachutistes sur les Hautes-Fagnes avec l'objectif de prendre le contrôle des ponts et carrefours sur les routes des Ardennes.
|
Levy (Jean-Pierre) - Résistance (France) |
- | Fondateur et dirigeant du mouvement de résistance FTP (Francs-Tireurs et partisans).
|
- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
|
Dans ce texte : Keskispass avec Adolf ces temps ? de René CLAUDE le jeudi 11 octobre 2007 à 09h55Des romans, récits, mémoires, docus, fictions, ... ont tous comme sujets la mèche et la petite moustache avec... Ce matin encore, dans Télérama, je relève ce billet :
La soit-disant vérité sur Adolf Hitler
Au 12e Festival du cinéma allemand, le führer bouffon de Dani Levy ne fait pas rire.
(...) le film le plus attendu (...) est sans nul doute Mon Führer, sous-titré La vérité vraiment la plus véritable sur Adolf Hitler. Sortie en Allemagne en janvier dernier, cette comédie de Dani Levy (Monsieur Zucker joue son va-tout) avait en effet soulevé une vive polémique autour de l’éternelle interrogation : peut-on rire de tout en général, et des nazis en particulier ? Au vu de l’œuvre en question, contre-pied comique de La Chute, d’Oliver Hirschbiegel, on est tenté de répondre non. Hitler y est montré en train de perdre la guerre, il a le moral à zéro, fait pipi au lit ou joue avec des petits bateaux dans son bain. Pour l’aider à répéter un discours, Goebbels lui trouve un « coach » : un déporté juif, prof de théâtre, libéré tout exprès de Sachsenhausen. Hormis quelques gags pompés chez Lubitsch(« heil moi-même »...), cette entreprise de démystification lourdement farcesque de la figure du Führer arrache à peine un sourire. Dans le genre, et sans même oser penser à Chaplin, Jacques Villeret a fait mieux dans Papy fait de la résistance. Le Hitler de Dani Levy, bouffon pathétique, avoue persécuter les Juifs comme son papa à lui le persécutait. La déportation, montrée avec une désinvolture ahurissante, serait donc le symptôme géant d’un traumatisme juvénile. Et les dirigeants nazis, un état-major d’opérette. Et tout ça pourquoi ? Pour prouver que l’Allemagne, après un long travail de mémoire, peut désormais rire de ses heures les plus sombres ? Manifestement, elle a ri jaune.
Cécile Mury
Passées les bornes...
RC
Le site du festival ciné all. *** / *** |