le Glossaire de Francis a trouvé : - | Lors de l'offensive des Ardennes en décembre 1944, deux missions de commandos furent planifiées et reçurent les noms de code "opération Autour" (Stösser) et "opération Griffon" (Greif).
L'opération Autour, confiée au lieutenant-colonel von der Heydte, était destinée à faire sauter des parachutistes sur les Hautes-Fagnes avec l'objectif de prendre le contrôle des ponts et carrefours sur les routes des Ardennes.
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Ordre de Bataille - OB - Divers |
- | abrégé également en ODB.
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- | Les auteurs utilisent indistinctement ODB ou OB pour désigner "Ordre de Bataille".
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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- | Chambre des députés (parlement) allemande. L'incendie criminel du 27 février 1933 sera le prétexte pour éliminer les partis politiques et instaurer un régime d'exception suspendant les libertés publiques.
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Dans ce texte : Mers el-K, miroir du nazisme ? de françois delpla le lundi 01 octobre 2007 à 06h52
Elle est vraiment très intéressante, cette hypothèse.
1300 marins sans défense tués. Des avions qui reviennent les jours suivants mitrailler les sauveteurs autour des épaves d'où parviennent encore des appels. Tout était facile jusque là pour Hitler, tout était dans l'ordre, y compris d'un certain côté la résistance churchillienne. Il faisait dire par Goebbels, et sans doute le croyait-il lui-même, qu'Albion utilisait l'Allemagne pour taper sur la France et affaiblir un vieux rival maritime et colonial (le berceau du pétainisme est dans cette propagande), puis qu'en faisant les comptes, face à une Allemagne prête à évacuer l'Europe occidentale et tenue de le prouver immédiatement, Londres allait sans scrupule laisser l'Allemagne étendre son territoire, et surtout sa domination, vers l'est, à condition qu'elle y mît un minimum de formes.
Et voilà que tout d'un coup un acte de cruauté spectaculaire et largement gratuit, dans le style de l'incendie du Reichstag (Hitler détestait le Reichstag mais n'avait nul besoin de le brûler, à moins que la flamme elle-même, illuminant Berlin dans le ciel de la nuit fraîchement tombée, ne fût son but; Churchill pouvait craindre une mainmise allemande sur les navires français mais il n'y avait pas de quoi se précipiter au risque de casser les liens avec Vichy... à moins que là ne fût précisément le but : la stigmatisation du compromis avec la croix gammée), voilà que tout à coup cet acte révèle à Hitler qu'il y a dans le camp adverse son double. Lui qui jouait précisément sur le pacifisme des autres (et Dieu sait si Churchill l'était, pacifiste, et argumentait depuis le début en disant qu'alliances et réarmements étaient des assurances contre tout risque de guerre), voilà qu'il a en face de lui un égal dans le non-respect de la vie humaine et dans le meurtre démonstratif.
Pas de doute : les Juifs sont en ordre de bataille. Eh bien ils vont voir de quel bois on se chauffe !
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