le Glossaire de Francis a trouvé : - | Au sens strict "Abteilung" pourrait se comprendre comme étant la partie d'un ensemble.
Dans la Wehrmacht, le terme prend diverses significations selon son utilisation. Dans la majorité des cas, "Abteilung" signifie "bataillon". Le terme est également utilisé pour désigner un détachement (un détachement d'armée par exemple), une section ou un département.
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- | Dans l'armée suisse, à l'instar de la Wehrmacht, le terme désigne aussi un corps de troupe composé de plusieurs unités (compagnies, batteries) mais se traduit en français par "groupe" ("gr art" pour "groupe d'artillerie" [Art Abt / Artillerie Abteilung] ou "gr DCA" pour "groupe de défense contre avions" [Flab Abt / Fliegerabwehr Abteilung), alors que "bataillon (bat)" se traduit en allemand par "Bataillon (Bat)" ("Inf Bat" pour "Infanterie Bataillon" [bat inf / bataillon d'infanterie] ou "Pz Bat" pour "Panzer Bataillon" [bat chars / bataillon de chars).
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- | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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DAK - Deutsches Afrika Korps - Allemagne nazie |
- | Au départ la DAK, formée en février 1941 et commandée par Erwin Rommel pour soutenir les troupes de Mussolini, était le quartier général des divisions allemandes opérant en Afrique du Nord (Libye, Egypte et Tunisie). Par la suite, la DAK désignera l'ensemble du corps expéditionnaire allemand dans cette région.
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Dans ce texte : ... ou du conducteur ? de 13emeDBLE le lundi 24 septembre 2007 à 14h05Je ne suis pas d'accord avec vous : il n'y a pas pour moi de désaccord (non je ne suis pas encore schizophrène ;-)))
Juste une précision sur l'objectif réel du travail : essayer d'avancer sur le micro.
Je partage entièrement votre appréciation sur le fait que le contexte est important pour saisir la rationnalité des comportements et des décisions. Mais le problème est qu'il faut savoir borner son travail, afin de pouvoir se pencher sur les détails en profondeur, ou afin d'éviter d'avoir à sortir une série en 6 volumes de 450 pages chacun pour pouvoir analyser les opérations de l'aufklarung-abteilung 3 du 14 février au 31 mars 1941...
borner signifie mettre des frontières, c'est injuste et illégitime mais c'est malheureusement nécessaire.
Pour finir sur les pressions Churchilliennes sur Wavell, j'aurai deux remarques :
- je parle de "pressions déraisonnables" car tous les membres de l'état-major savaient qu'il valait mieux attendre que l'outil militaire s'améliore plutôt que de gaspiller des matériels certes médiocres, mais pour lesquels tous les risques avaient été pris. Et si l'on regarde bien, rien ne pressait, vu que le DAK était dans la pire des situations, écartelé entre Tobrouk et Solloum-Bardia ;
- mais le tort des attaques inconséquentes lancées un peu trop rapidement est à partagentre entre Londres et Wavell : il lui appartenait de refuser, ou de procéder différemment...
Ou alors simplement de donner une plus grande médiatisation au succès défensif des australiens (la surmédiatisation de Tobrouk n'interviendra qu'en juillet -août, c'est à dire après les défaites de mai-juin, et sera surtout l'oeuvre des journalistes australiens).
Pour A.J., il s'agit d'un "tatovage" sur l'avant-bras, de la date du discours célèbre sur "la sueur, le sang et les larmes ..." Je ne suis pas allé vérifier ailleurs... ;-) *** / *** |