le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Dans ce texte : Question simple, pourtant de Nicolas Bernard le mercredi 19 septembre 2007 Ã 13h05
1) François Delpla écrit : "Vous devez être affreusement en difficulté pour ne pas répondre un mot sur le sujet que vous avez vous-même abordé, concernant l'interprétation des journaux de Jodl et de Halder."
Cette réplique me laisse perplexe. Cette réponse dont vous déplorez l'absence, je l'avais postée une demi-heure plus tôt.
2) François Delpla ajoute : "Vous vous précipitez dans des diversions cousues de fil blanc sur d'autres périodes, d'autres continents et d'autres sujets. Et sur ces sujets vous exigez, sous peine que votre thèse soit réputée avoir été démontrée par forfait, la production intégrale d'archives électroniques détruites par leurs propriétaires. La méthode est radicale à défaut d'être convaincante !"
Là encore, j'avoue ma perplexité.
D'une part, deux de ces débats sont actuellement en ligne sur des fora de discussion (dont celui de livresdeguerre.net). L'excuse technique n'est donc pas convaincante.
S'agissant des deux autres, François Delpla avait largement le temps et les moyens, à l'époque, de les conserver et de les retranscrire intégralement. Il n'ignorait d'ailleurs pas que ces messages étaient amenés à disparaître au bout de trois mois, conséquence technique bien malheureuse de l'espace de discussion où s'étaient tenues ces discussions. Et pourtant, bizarrement, il n'en a rien fait.
3) François Delpla achève ainsi : "Vingt minutes après vous être fait modérer un message par les tenanciers de ce lieu qui n'ont jamais péché, leurs archives en témoignent, par une censure draconienne à l'égard de vos aménités, vous osez donner des leçons et prétendre que ce sont les autres qui font fermer les fils que vous avez fait dégénérer."
Cette accusation est manifestement farfelue. Mais que vous cherchiez à vous défendre par l'agression et l'imagination me laisse froid. Cette attitude dénote une incapacité à répondre à ma question pourtant toute simple : ces fameux débats où vous avez été considérablement mis en difficulté, pourquoi diable n'ont-ils pas été reproduits (ou reproduits intégralement) sur votre site ?
La question vous est posée depuis trois ans et vous n'y avez jamais répondu, autrement que par la dérobade. *** / *** |