La description du sujet
Remarque :Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules
Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement
§:c ( | | le Glossaire de Francis a trouvé : - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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Waffen SS - Allemagne nazie |
- | Section de protection de l'armée. Unités combattantes de la SS (Voir SS).
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FFI - Forces Françaises de l'Intérieur - Résistance (France) |
- | Créées par ordonnance du CFLN (Comité français de libération nationale) le 1 février 1944, les FFI réunissent, en principe, l'ensemble des mouvements de la Résistance intérieure. Le 28 août, après la Libération, le général de Gaulle décide leur incorporation dans l'armée régulière et la dissolution de leurs état-majors
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SS - Schutzstaffel - Allemagne nazie |
- | "Echelon de protection" ou "Section de protection".
Créée en 1923, la SS est d'abord la garde prétorienne de Hitler. Sous l'impulsion de Heinrich Himmler qui en prend la tête le 6 juin 1929, elle devient la police du Reich. A partir de 1937, la SS est chargée de la gestion du système concentrationnaire.
Himmler portera le titre de "Reichsfürher-SS".
A partir de 1935, la SS se subdivise en différentes branches notamment:
- SS Verfügungstruppe (troupes mises à disposition), organisées militairement et qui deviennent, au début de la guerre, les Waffen SS.
- SS Totenkopf (tête de mort) chargées de la garde des camps de concentration.
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Dans ce texte : Je dubite de françois delpla le jeudi 17 mai 2007 à 16h03Dans une logique strictement militaire, il y a, ce 16 août, une capitale française en cours d'évacuation sans que cela soit dit. Il est de première importance pour l'armée allemande d'assurer la sécurité de ses cantonnements et de ses voies d'évacuation et, pour cela, de neutraliser les groupes de résistance qui peuvent lui tomber sous la main.
Et si l'exécution n' pas lieu en public, il n'en reste pas moins que cet abandon des cadavres sur la voie publique tend à faire connaître le sort des FFI au plus vite : c'est sans doute bien là un effet de terreur qui est recherché, en même temps qu'une rappel, à l'usage des bidasses allemands, qu'il sont en pays ennemi et qu'ils n'ont pas intérêt à se laisser faire prisonniers.
De ce point de vue, on retrouve l'esprit des Waffen SS à Oradour : "brutaliser" la guerre pour maintenir le nazisme bien en place et prolonger la guerre malgré la défaite en France.
On a donc bien raison de dire que ce massacre est criminel, mais c'est pousser le bouchon de dire que le crime est gratuit. *** / *** |
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