Décryptage du forum "Livres de guerre"
Pour profiter de
tous les avantages
de ces pages, vous
devez accepter
les cookies



Forum
des livres, revues, sites, DVD, Cd-rom, ... , sur la 2e Guerre Mondiale, de 1870 à 1970
 
 L'accueil
 Le menu
 Le forum
 Les livres
 Ajouter un livre, ...
 Rechercher
 Où trouver les livres ?
 Le Glossaire
 Les points
 Les pages LdG
 L'équipe
 Les objectifs
 La charte
 Droit de réponse
 L'aide
 
 
 

 

Un homme blindé à Bir-Hakeim - Raphaël Onana
La description du sujet




Remarque :

Pour que le Glossaire trouve un sigle, il doit être écrit en majuscules

Pour qu'il trouve un mot, il doit ètre orthographié et accentué correctement

§:c (

 

le Glossaire de Francis a trouvé :


Gaulle (Charles de) - CDG - France libre
-

A hissé le grade de Connétable bien au dessus de celui de Maréchal, fut il de France.
Le site officiel


Gaulliste - France libre
-

Appellation péjorative des Français Libres
Jamais les Français Libres ne se dénommaient ainsi en parlant d'eux. Cette expression est une "invention de la propagande Allemande" écrit le général de Gaulle "qui tend à nous confondre avec ces anciens partis politiques qui portaient le nom de leurs chefs, "doriotistes ou "paul-fauristes" d'avant guerre." (dans "La 1ère DFL" du général Yves Gras)
JGh


R - Résistance (France)
-

Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).

En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")


DIA - Division d'infanterie algérienne - France

Dans ce texte :

En faveur de De Gaulle ??!! impossible ! de Leon le dimanche 29 avril 2007 à 17h22

Ah, Jacques, j'ose a peine recopier certains passages...
mais je me lance, sachant que tout cela doit évidemment être relu à la lumière du "trouble" qui régnait alors...

5 mai 43: "Je lui ai redit (à Plas), les raisons pour lesquelles je n'étais pas Gaulliste et que m'importe mon avenir, même avec de Gaulle. Nous aurons la révolution en France, elle sera la rançon de l'erreur de l'Armée préparée par Vichy. J'ai dit à Plas: ""L'armée de peut pas voir de Gaulle ! Elle ne peut pas le voir à cause de la Syrie et de Dakar et surtout parce que bon gré mal gré, il représente toute la politique d'hier. L'armée ne pardonne pas à la politique de l'avoir conduite à la défaite. Elle a accepté le Maréchal mais elle l'a aimé parce qu'il a cristallisé sur lui toutes nos rancœurs contre le régime qui a consommé la défaite française !""

(...)La politique est une bien sale chose et les intérêts de la France y disparaissent derrière les intérêts de certains. Giraud se débat, plus ou moins maladroitement au milieu de tout çà. Je conclus en disant à Lardin que toute cette cuisine est incompréhensible pour la majorité, dont moi, et en tout cas, pour les militaires.
(...) De Gaulle - Giraud, c'est un problème politique. D'ailleurs les gaullistes sont constitués par les anciens tenants du Front Populaire (...). A côté les indigènes restent muets avec au fond du coeur un certain attachement au général Weygand.


27 mai, à Tunis:
"Beaucoup de laisser-aller depuis la Victoire, même et surtout chez les Alliés. Tunis, ville fermée, mais les rues débordent d'Anglais mal tenus qui exposent leur intempérance et leurs instincts. Dans les esprits, confusion extrême: de Gaulle, dieu des communistes. Inscriptions sur les murs: "Croix de Lorraine + faucille et marteau = Victoire!" Cela se passe de commentaires!"

28 mai
"l'entente est faite, parait-il entre de Gaulle et Giraud.(...) Plas m'a dit: ne voulez-vous pas voir le général de Gaulle? J'ai refusé. Giraud, que j'aime en fils est mon patron. Je le crois supérieur à l'autre! Moralement, politiquement, militairement. Il est moins personnel."

2 juin: "L'union est faite. Un nouveau mensonge est né. L'avenir politique de la France repose sur un mensonge auquel personne ne croit, que les petits trublions des cafés électoraux. Les troupes de Leclerc et de Larminat sont écoeurées, elles aussi, de voir que l’on parle tant de basse politique. Il faut que Giraud reprenne l’armée en mains. »

27 juin :
« Convoqué a Alger. La situation est la suivante, ou du moins, paraît telle : Giraud et de Gaulle n’ont pas pu s’entendre sur le point de vue militaire. La désignation des 2 commandements en chef pour chacune des armées Giraud et de Gaulle consacre la désunion officielle. Les débauchages pour l’armée Leclerc continuent ! On parle réduction des limites d’âge, et telles quelles, si elles étaient appliquées, je ne pourrais pas faire partie du Corps expéditionnaire. Cette pensée me torture.»

Le 22 août, de Gaulle inspecte la division qui va bientôt partir en Italie. « l’impression est assez terne. Je m’attendais à mieux. Beaucoup de froideur dans l’attitude, sauf avec les civils. Aucune facilité pour parler des choses militaires. L’impression dans l’ensemble, n’a pas été favorable. Pendant la revue, les officiers d’artillerie ont ostensiblement tourné la tête à l’opposé de de Gaulle. »


Non, rien du tout de significatif quant au « ralliement » de Monsabert à de Gaulle, au contraire. La date de juin 1943 reste donc un mystère et-ou une erreur…

De Monsabert embarquera toutefois le 14 décembre de Bizerte pour Naples avec « sa » 3e DIA et connaîtra les succès militaires que l’on sait.

Des centaines d’autres choses passionnantes et « inédites » dans ce livre !

Frédérique

*** / ***

Consulter ou enrichir le Glossaire de Francis



Pour contacter les modérateurs : cliquez !

 bidouillé par Jacques Ghémard le 1 1 1970  Hébergé par PHP-Net PHP-Net  Temps entre début et fin du script : 0.12 s  3 requêtes