le Glossaire de Francis a trouvé :| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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IHTP - Institut d'histoire du temps présent - France |
| - | Leur site : 
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STO - Service du Travail Obligatoire - Divers |
| - | En France! Le régime de Vichy instaura, le 16 février 1943, un Service du Travail Obligatoire en Allemagne auquel les hommes nés entre le 1 janvier 1920 et le 31 décembre 1922 furent soumis.
En Belgique entièrement sous administration allemande, les auteurs utilisent indifféremment TO (Travail Obligatoire) imposé par l'occupant ou STO par analogie avec la France.
Dossier STO
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Dans ce texte : Sur le site de l'Institut d'Histoire du Temps Présent de René CLAUDE le lundi 20 novembre 2006 à 14h27
Le site de l'IHTP met en ligne (fichiers pdf) des extraits de Journaux du STO, de récits d'évasions :
Le fonds de l’APA abrite une vingtaine de récits d’évasion de prisonniers de guerre pendant la Seconde Guerre mondiale1. C’est une sorte de microgenre littéraire, peut-être surreprésenté par rapport à ce qui s’est passé dans la réalité. Sur 1 600 000 prisonniers de guerre internés en Allemagne, seulement 4 % se sont évadés. Or nous avons reçu plus de récits d’évadés que de non-évadés. Peut-être a-t-on plus envie de raconter sa vie de prisonnier quand on a tenté (avec ou sans succès) de lui échapper ? Les prisonniers évadés forment d’ailleurs une communauté qui a son association, et peut-être, du coup, ses archives et sa solidarité.
Et le Journal d'un archiviste occupé (1939-1946) :
Le 6 janvier 1939, Hyacinthe Chobaut, archiviste départemental de Vaucluse, entame l’écriture d’un journal quotidien sur un petit cahier d’écolier, qui sera suivi de dix-huit autres cahiers semblables, tenus jusqu’au début du mois d’août 1946. Cachés par leur auteur dans les rayonnages des magasins d’archives du Palais des Papes durant toute la guerre, ils ont été déposés par Henriette Chobaut, plus de trente ans après le décès de son époux, aux Archives départementales de Vaucluse sous leur forme originale, et en copie intégrale à l’Institut d’histoire du temps présent.
Ici :
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