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Combat - Résistance (France) |
| - | L'un des premiers mouvements de résistance en Zone Sud. Fondé par Henri Frenay. Le mouvement "Combat" est issu de la fusion du MLM (Mouvement de Libération Nationale)d'Henry Frenay et Bertie Albrecht avec le Mouvement des Démocrates Chrétiens "Libertés".
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| - | (1930- )Pierre Miquel, professeur à la Sorbonne, auteur de nombreux ouvrages sur les crises de la société française (L'Affaire Dreyfus, Les Guerres de Religion, La Grande Guerre...) est considéré comme le meilleur spécialiste de la Première Guerre mondiale.
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| - | Dans le cadre de l'organisation de la Résistance, la lettre R suivie de 1 à 6 indiquait une région de la zone Sud (zone non occupée jusqu'en 1942).
R1 : Région Rhône-Alpes (centre Lyon).
R2 : Région Provence-Côte d'Azur (centre Marseille).
R3 : Région Languedoc-Roussillon (centre Montpellier).
R4 : Région du Sud-Ouest (centre Toulouse).
R5 : Région de Limoges (centre Brives puis Limoges).
R6 : Région de l'Auvergne (centre Clermont-Ferrand).
En zone Nord occupée, les régions étaient définies par les simples lettres : P - A - B - C - D - M
(voir "zone")
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PS - Poste de secours - France |
| - | Poste de secours à ne pas confondre avec un parti politique.
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Dans ce texte : Un essai intéressant... de René CLAUDE le lundi 13 novembre 2006 à 13h49
Tout d'abord dire anarchistes = non-violents est historiquement réducteur, voire faux. Mais ce n'est pas mon propos aujourd'hui, on en reparlera sûrement si on aborde les nouveaux essais consacrés à la guerre d'Espagne.. Pierre Miquel n'est ni anar, ni pacifiste, même si on a vu des anarchistes (bien) armés dans certaines périodes révolutionnaires; il y a même une chanson assez émouvante de Léo Ferré "Ils ont de vieux fusils pour ne pas oublier... les anarchistes" Donc, oui, le bouquin de Pierre Miquel, bon vulgalisateur de la Grande guerre est intitulé Le gâchis des généraux. Il essaie de comprendre pourquoi les généraux dans les deux camps se sont obstinés à envoyer au casse-pipe des centaines de milliers d'hommes (sur la Somme par exemple) alors que le premier bleu venu pouvait se rendre compte que l'affaire était globalement bloquée sur tout le front occidental et aussi dans les Dardanelles. Les officiers supérieurs - dont certains étaient surnommés par les poilus les bouchers (Mangin) - auraient du être obligés de vivre une journée et une nuit en première ligne pour se rendre compte des conditions figées du combat. Dès lors, ils auraient peut-être modifié leurs conceptions de la guerre de grignotage (à quel prix, ce grignotage de 500 mètres... ?) en fonction de ces conditions inédites et épouvantables. Mais non, ils se sont trop souvent obstinés. Résultat : des milliers de jeunes types écrasés, pillonnés, démembrés, estropiés, disparus POUR RIEN. Ça, on peut difficilement le remettre en cause - même les historiens militaires l'admettent - ou alors, on et de mauvaise foi. Ici, il n'est pas question de non-violents, d'anars, de pacifisme, mais du plus élémentaire bon sens. Cette dimension de gâchis sanglant apparaît très bien dans le docu diffusé ces jours sur Verdun, cette noire matrice de tous les massacres à venir.
Bien cordialement.
RC
PS : Quel est le rapport entre la situation à Verdun ou sur la Somme en 1916 et notre monde d'aujourd'hui où on risque les attaques terroristes et/ou les conflagrations nucléaires ? Il me semble que la grille de lecture n'est plus vraiment la même, non... ?!? *** / *** |
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